Malédiction Rédemptrice
Contient : surface (21)(...) Si les joueurs décident de rejoindre l'îlot a la nage, insistez sur la description des « mammifères » (créatures de lunes noires) aquatiques gigantesques et étranges qui font de temps en temps leurs apparition ensurface. Le cas échéant, Ophucius, interviendra quelques heures plus tard pour les libérer de leur frayeur. (...)
Les vents qui balayent la région peuvent être d'une rare violence et modifier en quelques secondes l'allure du Lac. Celui-ci peut avoir sasurfaceluisante comme un miroir puis l'instant suivant être le scène d'un ballet aquatique de vagues de 2,50 mètres de hauteur. (...)
Les archives se remplissent de témoignages plus ou moins intéressants, tandis qu'une foule de curieux guette avec avidité la moindre manifestation inhabituelle à lasurfacedu Loch Ness. L'autosuggestion explique beaucoup de ' preuves '. La nature du lac lui-même ne favorise pas les chercheurs : cette énorme masse d'eau est souvent très calme, avec unesurfaceen mer d'huile, tandis que les rives escarpées projettent leur ombre inquiétante sur les rives. Les illusions d'optique abondent, et un oiseau, une branche ou le sillage d'un bateau peuvent produire des effets étonnants. (...)
Au dire de certains, la chose inconnue photographiée par Robert Rines, un chercheur de l'Académie des sciences appliquées de Boston, n'était qu'un remous à lasurfacedu lac. Il faut reconnaître que la mauvaise qualité du cliché encourage - ou décourage ! - toutes les suppositions. (...)
Pour les partisans du monstre du Loch Ness, par contre, l'objet photographié présente deux caractéristiques. Il est d'abord animé : s'il n'était qu'un remous à lasurfacedu Loch Ness, il aurait fallu que l'appareil photo, qui prenait un cliché toutes les soixante-dix secondes, reste parfaitement immobile pendant cent quarante secondes ! (...)
Une équipe y prend place, rapidement relayée par un système de caméras de télévision commandé de lasurface. Rien de ce qui se passe au fond ne doit échapper a priori à l'oe il des caméras, Celles-ci permettent d'identifier avec beaucoup de précision tout ce qui bouge sous l'eau : un film est toujours plus précis qu'une photographie. (...)
Pour affiner les informations fournies par le sonar, on a tenté de recourir à des dauphins, qui seraient chargés de rapporter à lasurfacedes photographies ou d'autres échos sonar. En théorie, rien ne s'oppose à un tel dressage. Le seul problème est d'ordre physiologique : les dauphins ne peuvent pas s'adapter à l'eau douce. (...)
Ils ne peuvent pas non plus supporter trop longtemps un froid tel que celui qui règne au-dessous de la thermocline (zone de séparation des eaux chaudes desurfaceet des eaux froides du fond) du Loch Ness, à une trentaine de mètres sous lasurface. Enfin, les dauphins se sont montrés souvent assez intelligents pour refuser des travaux difficiles : il ne serait pas impossible de les voir refuser d'effectuer une mission dans le lac écossais. La tendance est plutôt, à l'heure actuelle, à un retour au sonar doublé d'un système de photographies automatiques en cas d'écho. (...)
Le Loch Ness est caractérisé par sa remarquable stabilité thermique : la température générale de ses eaux ne varie guère de plus d'un demi degré tout au cours de l'année. En moyenne, les eaux du lac sont à 5,5 °C. En été, les eaux desurfacepeuvent monter jusqu'à 12°C. Mais cette masse plus chaude reste toujours séparée du reste des eaux par la thermocline. (...)
L'ombre portée par les collines environnantes sur les eaux déjà tourbeuses, l'escarpement des côtes et la brièveté des étés empêchent les plantes aquatiques de s'étendre à plus de 3 m sous lasurfacedu Loch Ness. Si le ' monstre ' de ces eaux est herbivore, il ne doit donc trouver de la nourriture en quantité suffisante que très près des bords du lac. (...)
Les baleines bleues et les requins baleines, au contraire, n'ont pas de cou, mais une énorme tête. Enfin, pour se nourrir de plancton, un animal marin. doit être apte à nager très longtemps ensurface, là où sa nourriture abonde. Précisément, la plupart des témoignages recueillis sur Nessie font état de la brièveté de ses apparitions à lasurfacedu Loch Ness. Cette créature se nourrit-elle alors de détritus, ou de débris organiques divers ? (...)
Plusieurs plongées ont été organisées pour rechercher les traces d'un animal qui se nourrirait de tels sédiments jusqu'à une trentaine de mètres de lasurface. Elles n'ont rien apporté de nouveau, sinon la confirmation simultanée de la rareté de ces sédiments et de leur présence étonnante à une telle profondeur. (...)
I1 est vrai que, dans le Loch Morar voisin, on a découvert une colonie d'invertébrés aquatiques, qui vivaient sur un tapis de sédiments, à plus de 200 m de lasurface. Pour nourrir décemment Nessie, il ne reste plus que le poisson. Donc, ce saumon migrateur qui abonde dans les rivières et dans les lacs écossais. (...)
Ensuite, on a remarqué que beaucoup d'animaux mi-terrestres mi-aquatiques avaient l'habitude d'avaler des petits cailloux pour se lester quand ils nagent près de lasurface, où la pression des eaux n'est pas suffisante pour les maintenir immergés. Cette remarque s'applique à de nombreux autres lacs d'Ecosse. (...)
Tout d'abord, la température des eaux est sans doute trop basse pour permettre à un reptile de rester actif. Ensuite, un reptile serait obligé de fairesurfacepour respirer. Ou de venir à terre pour pondre ses oe ufs. Notons pourtant qu'il existe certaines exceptions, qui confirment ces règles : les tortues d'eau douce d'Amérique du Nord peuvent ainsi nager sous la glace qui recouvre les lacs. (...)
La seule objection solide contre cette hypothèse reste le problème de la reproduction : les phoques s'accouplent sur la terre ferme et y élèvent leurs petits. De plus, ils ont besoin de fairesurfacerégulièrement pour respirer. Alors, le monstre serait un poisson ? Après tout, cela pourrait expliquer les rares apparitions ensurfaceet le mode de reproduction discret. Malheureusement, la plupart des témoignages ne décrivent pas Nessie comme un poisson, même géant. (...)
Et les échos sonar recueillis peuvent suggérer des mouvements comparables à ceux des anguilles. On a également noté que les apparitions se faisaient de préférence à lasurface, quand les eaux étaient chaudes : cela peut parfaitement correspondre au comportement d'un poisson de fond. (...)Un templier fanatique, Edward Mc GREGOR, descendant templier écossais du clan des Mac Kurgan décide de se venger afin de perpétuer la malédiction de Jacques De Molay (Voir chronologie en annexe). Il a retrouvé des ouvrages, des parchemins et un mystérieux sceptre ayant appartenu au Grand Maître de l'Ordre, il décida, dès son plus jeune âge de venger ses aïeules afin d'éliminer toutes les descendances royales et cléricales restantes du royaume de France. Pour parvenir a ses fins, il a prévu un ...