Les arcanes de la folie
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I. Le commencement. En 2001, les pjs se réveillent dans le noir. Ils ne savent pas où ils sont ni comment ils sont arrivés ici. En fait, c'est le noir total, ils ne se souviennent de rien. Ils ont l'esprit embrumer et leurs sens sont quelque peu faussés. L'un d'eux sent quelque chose de liquide lui tombé sur la tête, par goutte. Au touché, c'est poisseux. Par ailleurs, il semble qu'il soit allongé dans la même substance. Après divers mouvements, il finit par trouver une lampe sur un ...Contient : new (18), yorkaise (2)(...) Mais sa route croisa celle de la Destinée il y a 3 ans et sa vie en fut radicalement transformée. En 1998, l'agent spécial tomba sur une enquête de tueur en série, surnommé par la presse deNewYork le kabbaliste, à cause des mutilations ésotériques qu'il effectué sur ses victimes avant de les tuer. (...)
Il entra à Quantico et sortit premier de sa promotion, devenant profiler. C'est à ses débuts que le kabbaliste refit surface. Son domaine de chasse étaitNewYork et David s'arrangea pour être affecté là-bas. De son côté, l'autre jubilait. Elle connaissait à fonds toutes les techniques de recherche du FBI et des profilers, ce qui lui permit de les éviter avec une grande facilité. (...)
De son côté, l'autre obtenait régulièrement des informations de Kurtz sur Delta Green, ce qui n'était pas pour déplaire à la Destinée qui gardait à l'oeil les activités de Delta Green surNewYork. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Début janvier 2001, la cellule F eut connaissance de faits étranges surNewYork. Il était question de conditionnement de personnes dans divers buts. Celui qui fit le plus de bruit fut le conditionnement d'une agent de sécurité de l'ONU qui tua un important diplomate étranger pourtant sous très haute sécurité. (...)
Ceux-ci sont là pour donner suite à l'assassinat du diplomate étranger à l'ONU. Mais voilà, tout ne s'est pas très bien passé. Dès les premiers jours après l'arrivée des pjs surNewYork, l'autre a senti que quelque chose n'allait pas. Il décida donc de faire prendre du recul à Sullivan et d'agir dans l'ombre. (...)
Kurtz ne se débrouilla pas trop mal, puisque les pjs ne se souviennent pas de la semaine passée, c'est à dire celle où ils sont arrivés surNewYork pour mener l'enquête. Enfin, Kurtz a fui avec la tête et les mains de Johnson, ainsi que la main de Olson pour mieux faire passer les autres ablations aux autorités. (...)
On est parti ! Perdus dans le noir totale de leur amnésie, les pjs ne savent pas ce qu'ils font surNewYork. Pire, peut-être ne connaissent-ils pas cette ville et aussi sont-ils réellement perdus au début de leur fuite. (...)
Au lieu d'être exécuter, il a donc été enfermé à vie dans l'asile psychiatrique de haute sécurité, Potacson, sur les rives de l'Hudson, à une heure de route deNewYork. Les dernières victimes : C'est là que tout se corse. Officiellement, ce groupe n'est pas censé exister. (...)
David Sullivan est en vacance, comme dit précédemment. Il se trouve dans la ferme familiale dans leNewJersey, grande baraque aux allures fantômes, autour de laquelle il règne un silence de mort, comme si tous les animaux du coin avaient disparu. (...)
Il ne dira pas où il se trouve et si les pjs l'apprennent grâce à son dossier au FBI, il préfèrera s'arrangeait pour revenir les voir àNewYork. Si vraiment les pjs reviennent à la ferme avant le grand final, jouez la scène comme quelque chose d'étrange et franchement sinistre. (...)
S'ils se décident de rentrer chez eux ou dans une éventuelle chambre d'hôtel qu'ils auraient loué surNewYork, ils retrouvent leurs anciennes habitations complètement saccagées. Tous leurs rapports ou matériel se rapportant à l'enquête semble avoir disparu, volé par leur mystérieux visiteur. (...)
Tout d'abord, Bolt, en bon paranoïaque qu'il était, avait ses dossiers secrets qu'il gardait exclusivement pour lui à l'abri dans un coffre de la Bank of America deNewYork. La clef pour y accéder se trouve chez lui, sous une latte de plancher particulièrement bien caché. (...)
Il possédait des dossiers sur plusieurs membres des agences fédérales américaines qu'il surveillait d'appartenir à une étrange organisation secrète au sein du gouvernement américain (Delta Green, donc, mais il ne connaissait pas le nom). De plus, il travaillait aussi sur un certain Mr Edwin, un membre de l'intelligentsianewyorkaisequi s'intéressait beaucoup à des livres de nature ésotérique appartenant à divers riches particuliers anglais. Le dossier mentionne aussi des vols perpétués dans les bibliothèques de ces dites personnes, avec pour unique but de récupérer ces livres. (...)
* De son côté, Sterton avait retrouvé la trace de son client, Mr Edwin. Celui-ci semblait avoir des contacts avec la pègrenewyorkaiseet l'approche promettait d'être délicate. S'en suit une infiltration en règle par Sterton dans le milieu de Mr Edwin, afin d'en apprendre plus sur l'homme et retrouver les livres volés pour ensuite les ramener à leurs propriétaires. Il semble que ce soit là la mission prioritaire de Sterton. (...)
Seulement, après l'assassinat de Sterton par un agent de la sécurité manifestement dément, Bolt avait repris son hypothèse. Il avait cherché des cas de démences soudaines dans des milieux importants deNewYork. Le résultat dépassa ses espérances : en l'espace de trois ans, il y avait eut plus d'une dizaine de cas de démence soudaines sur des personnes qualifiées par leur entourage de saine d'esprit et toutes dans des positions importantes. (...)
De plus, bien qu'il ne le sache pas vraiment, l'autre a créé grâce à ses tortures une sorte de lien entre lui et l'agent du FBI qui fait que bien que ce dernier déteste de tout son corps Sullivan, il est inévitablement attiré par lui et cela joue aussi dans le fait qu'il ne veuille pas quitterNewYork. Enfin, il ne faut pas oublier que Kurz est aussi complètement cinglé suite aux tortures mentales et physiques qu'il a subit. (...)
Normalement, après cette rencontre explosive, la méfiance des pjs devraient être au plus haut et ils ont probablement suffisamment d'indices pour se demander qui est ce groupe occulte qui règne dans la pègre deNewYork et qui est cette étrange maître. De plus, peut-être vont-ils aussi arriver à la conclusion que Kanigan est aussi un conditionné. (...)
D'autres détails apparaîtront dans le dossier de Sullivan, comme par exemple le fait qu'il possède toujours la vieille ferme familiale malgré ce que cela peut lui rappeler et aussi qu'il ne lui reste que pour seule famille une grand-mère, Mrs Evelyne Sullivan, qui possède une maison dans un petit village duNewJersez, Tamilton. Rendre une petite visite à cette chère vieille dame peut permettre de découvrir le pot aux roses. (...)