Carthago Delanda est
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Préambule historique : La troisième guerre punique (149 -? 146 AV JC), conclue par la destruction totale de Carthage, confirma la suprématie romaine dans le bassin méditerranéen, ce qui permit à Rome de pratiquer une politique cynique et efficace, consistant à exploiter les rivalités entre les différents états de la Méditerranée. Les Romains entrèrent en contact avec les Grecs, d?abord en Italie méridionale puis en Sicile, et plus tard à l'est, adoptant une grande partie de l'?art, de la ...Contient : rapport (11)(...) Cet interrogatoire est rapide, pas plus de quelques minutes par personne (ce qui fait quand même deux à trois heures d'immobilisation). Il termine sonrapportpréliminaire en recommandant à tous de ne pas quitter la ville, et de ne surtout pas jouer aux enquêteurs (il s'adresse en particulier aux aventuriers), tant qu'un questeur officiel n'aura pas été nommé, d'après les informations récupérées suite aurapportpréliminaire. Cette décision dépend en effet du consul Albinus Postumius. Cerapportcomporte la liste de tous les invités à l'orgie (y compris ceux qui seraient partis à la recherche d'Antoninus), leurs premières dépositions ainsi que leurs positions sociales au sein de la République. Le lendemain, un pli émanant du consul Albinus Postumius est adressé au tribun Corus Maler et au sénateur Lucius Aurelius, dont la présence est immédiatement requise au Forum. (...)
Sans y mettre de formalités, et en rappelant les nombreux services que le tribun a rendu à la République, ce dernier est chargé de l'enquête sur la mort du tribun Marcus Venitius (lerapportpréliminaire lui est remis), et il est libre de se choisir des assistants. Le consul va dépêcher un coursier de façon à ce qu'un navire soit mis à la disposition du tribun au port d'Ostie, au cas où ce dernier aurait besoin de quitter Rome. (...)
Ces derniers, s'ils sont vus, s'esquivent, et partent en direction de Suburre, le quartier malfamé, pour reporter les faits et gestes des aventuriers à leurs supérieurs (chef secte carthaginoise, intendant de Quintus Aemilius). - La villa de Caius Atilius est fouillée par des brigands de basse extraction. Ils n'ont aucunrapportavec l'intrigue, et s'enfuiront à la moindre menace (soit à cause des gardes postés en faction non loin de là, soit à cause des aventuriers). (...)
La pièce se termine par l'exécution des assassins, et le retour victorieux de Demetrios Antipater en Macédoine devant Alexandre le Grand. Demetrios a juste le temps d'effectuer sonrapport, avant de s'écrouler, mort. Cette pièce n'est pas inconnue des aventuriers, et certains faits ou similitudes étranges (malgré le contexte historique modifié) vis à vis de leur récente enquête à Rome devrait leur mettre la puce à l'oreille, à savoir que tous les principaux acteurs de l'orgie, sont d'une manière ou d'une autre, présents dans la pièce. (...)
Lucius Verus : tribun de la plèbe depuis une vingtaine d'années, et héros de guerre contre les Samnites et contre les Numides de Jugurtha, Lucius Verus est maintenant un homme établi, au teint un peu grisonnant, qui conserve certaines habitudes simples de ces ancêtres (point trop de lucre, économe avant tout). Il est relativement effacé, parrapportà l'exubérant Septimus Nerva, commandant de la VIIIème Légion. Il est crédule ou amoureux, car il se fait facilement mener par le bout du nez par Galla Placidia. (...)
- Adroclès s'absente en plein milieu de la réception privée (peu avant la mort du philosophe), pour rencontrer dans les jardins un messager de Séleucie, enrapportavec ses activités illégales (receleur de pierres précieuses). - la mort suspecte du philosophe Erasthène lors d'une réception donnée chaque soir après les épreuves, tout près du temple de Zeus. (...)
L'entrevue royale A l'arrivée à Alexandrie, les aventuriers sont reçus par la reine en son palais (au faste inimaginable), qui leur demande par pure politesse des nouvelles de Rome, et qui les convie à participer à la fête d'Opet, en suivant la barque royale (c'est à dire le grand navire de Ptolémée IV), et les remercie d'un geste de la main de participer à la fête. Mais le ton employé sous entend unrapportentre suzerain et vassal (‘‘Je suis satisfait de voir que Rome fait son devoir, comme les filles rendent hommage à leur mère et à ses prestigieux ancêtres''). (...)
Marhabal Barca Chouette Vautour Bouche Vautour Jambe Vautour Lion Jambe Vautour Bouche Vautour Cour Corbeille à anse M chouette, enrapportavec l'intériorité, servant notamment à écrire « dans, ce qui est dans » A vautour ou aigle dans imagerie médiévale, ce n'est pas une voyelle, mais une consonne faible (aleph) grand prédateur, sert à écrire le mot crainte, et se trouve enrapportavec la mort R bouche ouverte H construction sommaire, abri dans la campagne B jambe bien droite et pied, le lieu L lion, incarnation de la vigilance, partie antérieure du lion sert à désigner ce qui est important (homme important, chef), alors que la partie postérieure évoque les idées d'extrémité, de fond K corbeille tressée, munie d'une sorte d'anse Ptolémée X ‘ Lion Aigle Avant bras corbeille à anse avant bras Avant bras ‘ P siège A â avant bras tendu, action Mentouhotep II Aigle Avant bras Pain ‘ Caille Cour ‘ Pain siège plume plume Eau Avant bras E OU poussin de caille.