Les Sentiers de la Vertu
sur Chaodisiaque au format
Contient : ranger (7)(...) Des larmes coulaient le long de ses joues rondes, ce dernier arracha le plus rapidement possible son outre et s'aspergea du peu d'eau qu'il lui restait, mais la douleur s'amplifiait, il ne voyait plus rien, puis se recroquevilla sur lui même, la douleur était insupportable. Lerangerpriait Grimnir pour que ses souffrances cessent, il pensait même à mourir! Au bout d'un temps qui lui paru une éternité, le mal semblait être supportable, il voyait trouble et tentait de regarder autour de lui, lerangercompris ce qui lui arrivait quand il vît sur ses avantbras, ses mains et sur le sol, cette couleur verte phosphorescente : "c'était de la malpierre ". Des hommes rats avaient pollué le court d'eau sous les montagnes. (...)
Peut être que les ancêtres de Baruk connaissaient l'existence de ces voies, mais dans tous les cas, lui, n'avait jamais entendu parler de telles fondations. Cela faisait plusieurs heures que lerangerentendait du bruit indescriptible au loin. Cela faisait maintenant près de dix jours de marche et il était bien loin de son gite. (...)
Les couinements devenaient insupportable, Baruk avaient déjà entendu parler de ses créatures et savait de quoi elles étaient capable, il n'aurait jamais cru qu'elles soient aussi proche de la forteresse, il fallait absolument qu'il prévienne sont clan, il ne pouvait laisser ses créatures grouiller sachant qu'elles attaqueraient un jour ou l'autre les Citadelles Naines. Lerangerprofita de la confusion des combats pour monter sur une haute paroi et emprunter un tunnel en hauteur loin de cette bataille. (...)
Son instinct de guerrier repris le dessus et sachant que ses ennemis étaient autant surpris que lui, il n'attendit pas de se relever pour frapper avec son marteau, explosant ainsi la première patte qu'il pouvait, la vermine lâcha un cri tonitruant, les runes de "F racasse Gob' " brillaient d'une lueur bleutée. Lerangerne pouvait se relever sans se faire toucher, il était désavantager, mais l'adrénaline lui montait à la tête et il vît rouge. (...)
L'un d'eux portait une hache lourde magnifique, rempli de runes qui brillaient de mille feux, l'autre maniait deux haches à une main qui étaient tout de même très imposantes, seul un guerrier entrainé pouvait les manier d'une main, elles brillaient d'une lueur blanchâtre aussi grâce à de sublimes runes de maitre. Lerangerne savait plus quoi dire. Puis les sons sortir de sa bouche. " Mais que faites vous là ? Nous cherchons une mort certaine, mais apparemment tu veux nous la piquer . (...)
Baruk était fière d'être nain, il savait que les autres races n'avaient pas le cran des siens. « Adieu mes frères et que vos âmes reposent en paix auprès des dieux... » Lerangerayant retrouvé tout son courage, avait réussi à tenir la distance entre lui et les skavens pendant presque deux jours. (...)Introduction : 1 - Un soir ordinaire à "Camps Nouveau "... Dans une auberge du nom de "La Chope Gravée". Karuk venait de terminer de nettoyer son dernier verre, quand cet homme encapuchonné est entré dans sa taverne, alors qu'il allait fermer. " Eh ! Karuk !" S'exclama l'homme tout en enlevant sa capuche, laissant place à un visage dur, avec une cicatrice traversant en diagonal ses lèvres. " Qu'est ce que t'veux Olaf ? Tu es demandé d'urgence par l'intendant... Arff... Qu'est ce pass ...