Nephilim : l'univers de jeu
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Il y a longtemps, très longtemps, l'univers était vide. Un jour, les énergies magiques se matérialisèrent sous forme d'étoiles, et ainsi naquit Sol, l'Axis Mundi de notre monde. Lui-même engendra neuf autres corps célestes, les planètes : Mercure, Mars, la Lune, Vénus, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. L'énergie magique dégagée par Sol était grande, et les éthers qui émanaient de lui se réfléchissaient sur les planètes les plus proches. Dans un étrange processus, chacune des planètes ...Contient : éléments (6)(...) Les Kaïm naissaient dans des Nexus, grandes conjonctions magiques, croissaient puis se fondaient à nouveau dans leséléments. Mais certains commencèrent à refuser de se dissoudre, à réfléchir ensemble, à chercher à élucider les secrets de l'univers. (...)
Les Kaïm prirent conscience de leurs oppositions élémentaires, et bientøt une forme de société se construisit. Ce fut le Tutorat des Quatreéléments. Quatre Kaïm, reconnus comme supérieurs par leurs frères, dirigeaient l'ensemble de la communauté. Chacun d'eux présidait à un des quatreéléments, tandis que la Lune, taboue par le souvenir de la Lune Noire, était rejetée hors de la société ainsi que tous les Kaïm lunaires. (...)
Un raz-de-marée gigantesque engloutit l'Atlantide, et Kaïm et Humains découvrirent le champ magique de Saturne, l'Orichalque, qui produisait lorsqu'il rencontrait l'un des cinq Ka-élémentsune réaction annihilant les deux. Ce météore était saturé d'Orichalque, et tellement de fragments s'en détachèrent qu'ils donnèrent naissance à un nouveau champ magique. (...)
Ce Ka-élément, artificiel, se révéla être insensible à l'Orichalque lui aussi, et quelques Nephilim choisirent alors de renoncer à leurs Ka-élémentspour adopter celuici. Ils devinrent alors insensibles aux armes des humains et purent les combattre efficacement. Ces Nephilim prirent alors le nom de Selenim, et jamais ils ne purent retrouver leurs Ka-élémentsoriginels. Ils furent respectés par certains pour leurs sacrifices, rejetés par d'autres qui étaient horrifiés de l'abomination de leur transformation. (...)