Comme on sert le Cerf
sur La Cour d'Obéron au format (122 Ko)
Ce scénario s'adresse à des personnages expérimentés ; en effet, l'aventure qui attend les PJ est dangereuse et risque d'être vorace en points de Providence... Un ou deux combattants et au moins un personnage lettré et diplomate sont indispensables. Un médecin ou un barbier peuvent se révéler très utiles. Avec des adaptations mineures, ce scénario peut facilement être joué ailleurs que dans le Lyonnais et au cours d'une autre guerre civile de la deuxième moitié du XVIo siècle. Introduction ...Contient : assaillants (3)(...) ) Louis d'Azergues : Il n'était pas présent sur les barricades au moment de l'assaut des huguenots, ce qui en fait le suspect numéro un si personne ne découvre que François a été tué avant le combat. Il prétend qu'au moment du combat, il a ouvert le feu sur lesassaillantsdepuis une fenêtre du deuxième étage de la tour de l'hôtel - ce qui n'est qu'à moitié vrai ; Louis était bien dans l'hôtel, mais surtout pour échapper aux balles perdues. (...)
Bien sûr, une balle logée dans un des six tonnelets de poudre noire suffit à provoquer un magnifique feu d'artifice... L'explosion dévastera toute la rue, éventrant les deux maisons voisines. Lesassaillantseux-mêmes risquent d'être renversés par le souffle. Appliquez-leur les dégâts suivants : à 10 pas et moins du fauconneau : Dégâts 6 à 11 à 20 pas du fauconneau : Dégâts 5 à 21 à 30 pas du fauconneau : Dégâts 4 à 31 à 40 pas du fauconneau : Dégâts 3 à 41 à 50 pas du fauconneau : Dégâts 2 à 51 à 60 pas du fauconneau : Dégâts 1. (...)
Si des PJ se trouvent dans l'hôtel, ils pourront donner l'alerte à temps, en ayant perçu les coups sourds des masses et des pics ; dès lors, il sera facile de tenir l'escalier de la cave avec une poignée de défenseurs et de massacrer tous lesassaillants, incapables d'attaquer à plus de deux de front. Si personne ne donne l'alerte, les quinze huguenots s'emparent du rez-de-chaussée de l'hôtel, ouvrent les fenêtres et se mettent à arquebuser par-derrière les défenseurs des barricades. (...)