Comme on sert le Cerf
sur La Cour d'Obéron au format (122 Ko)
Ce scénario s'adresse à des personnages expérimentés ; en effet, l'aventure qui attend les PJ est dangereuse et risque d'être vorace en points de Providence... Un ou deux combattants et au moins un personnage lettré et diplomate sont indispensables. Un médecin ou un barbier peuvent se révéler très utiles. Avec des adaptations mineures, ce scénario peut facilement être joué ailleurs que dans le Lyonnais et au cours d'une autre guerre civile de la deuxième moitié du XVIo siècle. Introduction ...Contient : cinq (5)(...) C'est dans ces trois rues que les catholiques ont dressé des barricades. Les catholiques comprennent quarante-cinqgens de pied, sans compter les principaux PNJ : on relève parmi eux quinze arquebusiers, dix arbalétriers et vingt fantassins armés de piques ou de cognées. (...)
) La pièce contient, outre le lit et les coffres de rangement, un bureau et deux cassettes. Les cassettes contiennent cent vingt-cinqlivres tournois, un livre de raison et des papiers. Le livre de raison est une sorte de journal où l'on consigne les considérations personnelles et les comptes. (...)
) ; toutefois, la distance qui sépare le tireur ainsi placé de la batterie est de 120 pas et génère donc un malus decinqdés... Cette distance est trop grande pour que la portée d'une arquebuse soit efficace. La meilleure solution reste l'attaque pour détruire la batterie ennemie. Si au bout decinqminutes les PJ n'ont pas proposé cette action, c'est Gratien et Henriot qui prennent l'initiative de l'assaut. (...)
S'emparer de la batterie : cela n'a de sens que si un des PJ au moins dispose de la compétence 'Artillerie'. En outre, il faut au moinscinqhommes solides (plus de deux en Puissance) pour manoeuvrer ou déplacer le fauconneau, et il faut en outre récupérer tonnelets de poudre noire (un homme peut en porter au maximum deux) et les boulets de calibre 7. (...)