Antoine
sur Eastenwest
Contient : disparition (4)(...) Les deux nephs ont bien vu Antoine parmi les passants mais rien n'indiquait un lien entre ce garçon de 10 ans et l'effet antimagique. Pas plus qu'ils n'ont fait le lien avec l'avis dedisparitionpunaisé au commissariat et devant lequel ils sont encore passés négligemment ce matin, jusqu'à ce soir. (...)
Son initiative avait reçu un aval très favorable de la direction. - Mme Finatelli ferait une dépression depuis ladisparitiond'Antoine : elle se dirait responsable de sadisparitionpuisque Antoine sortait de chez elle. En fait, si on se rend à son domicile elle est introuvable ; elle a été mise au vert par les R+C dans la fameuse maison de campagne - En interrogeant très habilement les enfants, certains avoueront qu'Antoine les a littéralement effrayés (certains iront jusqu'à évoquer l'apparence monstrueuse qu'Antoine aurait prise à ce moment mais ils ont peur à la fois d'avouer avoir eu peur et de n'être pas crus : cette info doit être dure à obtenir). (...)
Celle-ci n'est pas due directement aux pensionnaires ou au personnel mais à 2 assistantes sociales et un inspecteur de la DASS « dépêchés » sur place pour éclaircir ladisparitiond'Antoine. En fait, ce sont 3 R+C, rompus aux Technès de l'esprit, et ils ont employé l'une d'entres elles qui fait qu'inconsciemment chacun se tait plus ou moins sur le sujet « Antoine ». (...)Ce scénario est plus un cadre, un contexte, qu'un scénario. Je veux dire par-là qu'il est extrêmement ouvert : le thème central est le « sauvetage » d'un jeune orphelin, Arkaim, qui s'ignore. La première partie est conventionnelle et ne devrait pas être trop complexe. Au terme de celle-ci, les PJs se retrouvent dans un Akasha qui a pour atmosphère l'enfance, les contes, dessins animés... Dans la mesure où chacun à un minimum de souvenirs des séries, contes ou héros qui ont bercé sa jeunesse, je n'ai ...