Mimosaville
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Contient : médor (3)(...) Le garçon décide d'aller voir, laissant la potiche en plan. On le voit donc errer dans la ruelle en appelant «Médor». Rien ne se passe. Quand il décide de rejoindre la potiche, il tombe sur des traces de sang (gris, suivez un peu) qui vont jusqu'à des pieds avec des talons hauts qui dépassent de derrière une poubelle. (...)
Le chien s'arrête sur une pelouse pour faire sa petite affaire et la vieille dame s'arrête de marcher pour attendre son braveMédor. On voit alors un homme habillé en shérif apparaître et, pour la première fois depuis le début du film, on distingue son visage (mais juste le bas de son visage, le reste étant dissimulé dans l'ombre de son chapeau). (...)
Au-dessus de sa bouche, on ne distingue que deux points rouges et brillants qui semblent être ses yeux. Pendant que la vieille dame tourne pudiquement le dos à son chien, le shérif s'approche deMédoret lui décoche un violent coup de pied qui l'envoie voler à plusieurs mètres. La carcasse ensanglantée retombe juste à côté de sa maîtresse qui pousse un cri puis s'écroule au sol en se tenant la poitrine. (...)L'HISTOIRE DE LA SAGA : La saga Mimosaville débute en 1953 avec Un monstre dans la ville, dans une tranquille bourgade américaine située à une centaine de kilomètres de Sodaville. Cette bourgade sans histoire se retrouve attaquée par un monstre un peu radioactif et pas très beau à voir. Lors de sa sortie, le film passe dans un premier temps inaperçu. En effet, il n'apporte pas grand-chose au genre naissant du « film-qui-fait-peur ». Pourtant, assez rapidement, la bouche-à-oreille ...