Mimosaville
sur Brainsalad au format (561 Ko)
Contient : spectateur (3)(...) Beaucoup de gens allèrent le voir à cause de la réputation sulfureuse du premier film. Cependant, la réalisation approximative nuit beaucoup au plaisir duspectateur. En effet, ce dernier apprécie en général assez moyennement les caméras qui tanguent et les plans flous ou mal cadrés. (...)
Mais ceci est une autre histoire et n'entre pas dans le cadre de la présente saga (oh la jolie démarche commerciale non dissimulée...). Grâce à ce troisième épisode, lespectateurrecommence à avoir confiance en Mimosaville et attend presque avec impatience la suite, espérant qu'elle lui apportera les réponses aux questions laissées en suspens à la fin de Maniac Sheriff. (...)
Tout semble alors aller pour le mieux et ils s'éloignent de la clinique sur un fond de soleil couchant. Alors que lespectateurse dit qu'il peut enfin rentrer chez lui, une nouvelle scène commence. On y voit un homme courir entre des immeubles, pourchassé par un gros chien avec les yeux qui brillent. (...)L'HISTOIRE DE LA SAGA : La saga Mimosaville débute en 1953 avec Un monstre dans la ville, dans une tranquille bourgade américaine située à une centaine de kilomètres de Sodaville. Cette bourgade sans histoire se retrouve attaquée par un monstre un peu radioactif et pas très beau à voir. Lors de sa sortie, le film passe dans un premier temps inaperçu. En effet, il n'apporte pas grand-chose au genre naissant du « film-qui-fait-peur ». Pourtant, assez rapidement, la bouche-à-oreille ...