Punjar, le joyau terni
sur Les Editions sans Détour au format (2.1 Mo)
Contient : eaux (4)(...) Les locaux parlent d'un vieux réservoir construit aux origines de la cité ; là, à demi-englouti par la merde et leseauxusées, se tient la statue d'un énorme rat, couverte d'algues et de moisissure noire. Ceux qui affirment l'avoir vu de leurs yeux vu prétendent que les tunnels qui mènent au réservoir abritent des Choses étranges, corrompues, aux yeux rouges, qui restent toujours en limite du champ de vision. (...)
Voici une brève liste de quelques lieux intéressants et des personnalités qui y sont associées : Le Trou noir : irrigué par un mince filet d'eau de vidange et parfois rempli par les trombes apportées par les tempêtes, le Trou noir est un bassin fétide, auxeauxsombres, qui se situe dans le coin nord-est du quartier. Le liquide n'est certes pas potable et il tâche tout ce qu'il trempe. (...)
Au plus grand profit des érudits et des alchimistes, une pellicule luminescente flotte à la surface deseauxdu Trou noir. Collecté là où le courant est le plus faible, ce produit est légèrement inflammable ; deux hivers plus tôt, tout juste, le Trou noir a été incendié et il brûla durant quatre jours et quatre nuits. (...)
La tour isolée de la Flèche des araignées attire l'attention au sud, les Cavernes aux sanglots s'étendent silencieusement sous leseauxnauséabondes et la Grande Bourbe, qui abrite des horreurs sans nom aussi anciennes que le monde, grignote chaque jour un peu plus la cité, comme une entité vivante, maléfique. (...)Bienvenue à Punjar ... Où que l'on voyage à travers tout le monde connu, nulle cité n'est plus mal famée, plus décadente ou plus mortelle que Punjar. C'est une triste collection, posée sur le sable de la côte, de taudis labyrinthiques, de ruelles enchevêtrées, de murs lépreux et d'échoppes pleines de rats. Les quartiers surpeuplés de cette cité ont produit quelques-uns des pires malfrats et des plus horribles coquins qui ont jamais régné sur les innombrables trônes du nord. Noircie par le ...