Quelques pétales de lys
sur La Cour d'Obéron au format (69 Ko)
«Ai ! Laurië lantar lassi surinen, Yéni unotimë ve ramar aldaron !' ('Ah ! Comme l'or tombent les feuilles dans le vent, de longues années innombrables comme les ailes des arbres !') J.R.R. Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, II.8. '...Je fais en sorte que l'ennemi prenne mes points forts pour des points faibles, mes points faibles pour des points forts, tandis que je transforme en points faibles ses points forts et que je découvre ses failles... Je dissimule mes traces de façon à les rendre ...Contient : agents (3)(...) Ainsi, pour créer des objets maléfiques, Uruthaur a-t-il besoin de vies (le plus souvent elfiques) ou d'objets purs, qu'il pervertit et détruit irrémédiablement. Or desagentsd'Angmar rôdant dans le Pays de Dun ont entendu parler du 'lac aux elfes'. L'histoire a fini par aboutir aux oreilles d'Uruthaur Sonnefer, dans les ateliers souterrains de Carn Dum, et le maître-forgeron a envisagé tout le profit qu'il pourrait tirer de ce lieu s'il trempait dans l'eau elfique les armes des troupes du roi-sorcier... Avec l'aval de son ténébreux suzerain, il a d'abord envoyé desagentsà la recherche de l'étang. Trois d'entre eux ont pris en filature Wenelen, un barde Sindar qui se rendait au Merethlin pour s'y recueillir et faire l'offrande de quelques pétales de lys. (...)
S'ils ont suffisamment retardé l'avance d'Uruthaur pour permettre aux renforts d'arriver à temps, ils gagneront l'estime des rôdeurs et seront fêtés et honorés à Fondcombe. Dans les deux cas, s'il y a des survivants chez lesagentsd'Angmar, il faudra désormais les compter comme des ennemis personnels, acharnés et avides de vengeance. (...)