Te Deum pour un Massacre : La colère gronde au royaume
de Francesur Petit Peuple
Contient : peintre (3)(...) Ses adversaires, se sentant maîtres de la situation, « jouèrent » avec lui : ils lui portèrent plusieurs blessures aux bras et aux jambes. Aucune n'était mortelle, mais elle tuait à petit feu lepeintreanglais. Un voile se dessina devant ses yeux. Le combat devint lointain. Une lueur moqueuse dans les yeux du balafré. (...)
D'ailleurs, Jacqueline est une des rares personnes à savoir qu'en plus de son amour pour le « domaine » en lui-même, Mlle de Rochenoire entretient une liaison avec M. de Calloway, unpeintrevenu d'Angleterre. « Dis-moi Jacqueline, Antoine va-t-il bien ce matin ? - Je pense que oui, Madame. (...)
Il avait espéré sauver sa belle, être son héros... Mais elle avait été sauvée par son palefrenier, qui l'aidait, lui ,à son tour. Décidemment, ce soir, William Calloway détestait être unpeintre. Cette pensée le fit sourire. Il s'évanouit. Sorti peu de temps après le livre de base, Te Deum possède un écran. (...)Décembre 1560 : Le coup d'estoc traversa l'abdomen du chien catholique. Il s'effondra, surpris, face contre terre, sur le sol jonché d'excréments de la rue. La réunion des États-Généraux d'Orléans, déterminante pour l'avenir du royaume, a lieu dans un climat explosif. Cela se ressent dans la capitale, où quelques bâtards ont pris les armes contre les Huguenots. Calloway reprit sa course, en essayant d'être le plus attentif possible à son environnement. Il était trempé de sueur, épuisé. Mais il savait ...