Purification
sur Des Jeux & des Histoires au format (339 Ko)
Contient : police (18)(...) En bas, un corps dans une position grotesque gît sur le trottoir. Le crâne est explosé et déverse son contenu sur les pavés. Lapoliceest déjà là et circonscrit la scène du crime. Les PJ qui vivent au douzième étage ou plus bas entendent passer les hommes du SWAT qui foncent vers l'appartement d'Isabella Rossi. (...)
Le mieux est sans doute de commencer par l'appartement d'Isabella, de nuit pour bien faire. L'appartement : Les scellés depolicesont toujours présents, mais il ne s'agit que de la célèbre bande jaune, très facile à enlever. (...)
Si les PJ tentent vraiment quelque chose, il retourne son couteau contre lui et se tranche la gorge. Vu la difficulté d'expliquer ça à lapolice, moi, je ne traînerais pas là... Madame Sfible : Reste le problème du fantôme d'Isabella. Il hantera les nuits de chaque PJ, provoquant des blessures bien réelles tant que madame Sfible vivra. (...)
Rapidement, tous les habitants de l'immeuble découvrent le choc : les murs des couloirs sont tapissés de sang, et une fameuse dose. Du sang coule du plafond le long des murs, la moquette en est gorgée. Lapolicedoit intervenir et évacuer tout le monde. Les plus fragiles commencent à pêter les plombs. L'immeuble est déclaré inhabitable tant qu'il n'aura pas été nettoyé. Lapolicescientifique se met rapidement à la tâche pour analyser le sang. Le soir même, les résultats tombent : il s'agit de sang humain provenant d'une centaine de personnes au moins. Un enquêteur de lapoliceun peu scrupuleux demande une comparaison d'ADN. Le troisième jour, le résultat très surprenant survient : le sang appartient aux habitants de l'immeuble. (...)
Il paraît que les cassettes vidéo des caméras de sécurité sont incroyables. Elles sont pour l'instant à lapolice, évidemment. Les PJ ne pourront pas entrer ici, et n'auront pas de vision. Il leur reste la possibilité de récupérer une copie des cassettes, ce qui est extrêmement difficile, le dossier étant brûlant (haha). (...)
Christie est prêt de rouvrir la bouche quand la vision s'interrompt. Les PJ sont troublés par des lueurs bleues qui clignotent dans leurs yeux. Une voiture depolicevient de s'arrêter devant les décombres du garage. Un voisin a remarqué un groupe qui pénétrait dans les gravats et a appelé lapolice. Les PJ feraient bien de se tailler vite fait s'ils ne veulent pas passer de longues heures au poste. S'ils ont déjà eu des démêlés avec lapolicedans cette affaire, on pourrait bien les interroger avec insistance. Après tout, les criminels reviennent toujours sur les lieux de leurs méfaits, c'est bien connu... Le hangar : Le gigantesque entrepôt, en bordure de l'autoroute, n'est pas co mplètement détruit. (...)
Quand ils arrivent, ce n'est pas une vision, mais le véritable incendie auquel ils assistent. Cependant, ils pourront revenir plus tard sur les lieux, une fois qu'ils auront été évacués par lapolice, et subir la vision. Ceci dit, cette vision n'est pas capitale pour la suite de l'enquête. Le message des visions : Grâce à toutes ces visions, les PJ glanent plusieurs indices. (...)
Il leur faut maintenant comprendre pourquoi il agit ainsi. Seule une enquête permet d'apprendre les faits de moeurs, qui n'ont jamais été rapportés à lapolice. Il suffit en fait aux PJ de trouver la dernière adresse de Christie. Il y a cinq Leonard Christie dans l'annuaire. (...)
La bonne adresse se situe dans la banlieue sud, à quelques pas de l'arrêt de bus où montaient les cadavres carbonisés dans la vision. L'antre de la bête : Lapolice, sans preuves, ne croira pas les PJ. Et quelles preuves pourraient-ils apporter ? « Un fantôme nous a guidé vers les lieux des incendies et des visions nous ont révélé l'identité du pyromane, qui se trouve être mort lui aussi. (...)
L'éclairage public étant plus que déficient, il est plus judicieux d'attendre la nuit pour pé nétrer dans la maison. Si un voisin voit les PJ entrer par effraction, il n'appellera pas lapolice, mais viendra tenter de faire justice lui-même avec son fusil de chasse. Gare à vos fesses ! Les portes et fenêtres de la maison sont bloquées par des volets. (...)
Les PJ ont maintenant le prénom du violeur qui habite dans leur immeuble et son visage 15 ans plus jeune. Il leur faut donc le retrouver. Jack : L'immeuble des PJ, rappelons-le, a été évacué par lapolice. Tout le monde est relogé dans la salle de sport de l'école la plus proche. Les PJ ne connaissent pas de Jack, mais il y a une personne qui connaît tout le monde dans l'immeuble, c'est Rita, la concierge. (...)
Cette vérité, c'est évidemment le nom du pyromane. Pour se faire, il faut conduire un journaliste, ou lapolice, ou les deux, dans la maison de Christie. Les indices laissés là permettront de conclure à la culpabilité de Leonard qui sera révélée dans la presse. (...)
Pour conduire quelqu'un là-bas, procurer une des cassettes devrait suffire, avec l'adresse indiquée sur elle. Attention néanmoins : si lapolices'intéresse à l'affaire, ils prendront les empreintes dans la maison, et les PJ n'ont peut-être pas pris toutes les précautions d'usage. (...)
Aucune trace des bombonnes, ni d'une victime ne vivant pas dans l'immeuble n'a été retrouvée, ce qui laisse à penser que cet homme a quitté les lieux après avoir bouté le feu. Lapolicea lancé un avis de recherche, mais les témoignages étant trop vagues, aucun portrait robot n'a pu être dressé. (...)UNE SUITE D'ÉVÉNEMENTS BIEN ÉTRANGES : Les PJ sont presque des gens comme les autres. Ceci dit, ils ont tous le sentiment diffus d'être un peu différents parfois. Ils vivent tous dans un grand immeuble à appartements un peu miteux de la banlieue de Detroit. Cet immeuble de 45 étages, d'un magnifique béton gris sali par la pollution va être le théâtre d'événements étranges dans les jours qui vont venir. Les PJ, en première ligne pour y assister, vont finalement y être mêlés ...