Trois vampires et un couffin
sur La Cour d'Obéron au format (67 Ko)
Ce scénario est conçu pour des vampires parisiens appartenant aux Korrigans, mais il peut très bien être joué avec des vampires de passage devant un service à Villon ou cherchant à entrer en grâce à ses yeux. Il est conçu comme une enquête, aussi n'existe-t-il aucune trame linéaire. Cependant, les principales pistes que les PJ sont susceptibles de suivre sont détaillées. Deux conseils : 1. Les fiches des PNJ sont parfois très détaillées : lisez-les attentivement car elles contiennent un certain ...Contient : arrondissement (3)(...) Si les PJ parviennent à entrer dans l'appartement d'Elise Catel-Réaux, ils pourront constater de nombreux phénomènes étranges, provoqués par le poltergeist de Romain : L'appartement se situe au 3, rue des Belles feuilles (XVI°arrondissement). L'appartement se situe au 6° étage, et offre une bonne vue sur les toits...) 1. Hall d'entrée : On y accède par une porte à double-battant, donnant sur un couloir transversal aux murs crépis de blanc, avec éclairage tamisé fourni par de discrètes lampes halogènes murales. (...)
Le petit garçon, qui souffre d'un si terrible manque affectif, lui rend un amour exclusif dont Elise, à la longue, devient jalouse. Elle habite à Belleville, près du X°arrondissement, dans une mansarde au 73, rue Bolivar. L'endroit est étroit, tapissé de posters de peintures chinoises, et squatté par Denis, son mec, étudiant raté au charme négligé qui n'hésite pas à la tromper de temps à autres. (...)
Quoi qu'il en soit, Abicello se montra très reconnaissant et multiplia les petits services rendus à Garance. C'est en vagabondant sur les toits du XVI°arrondissement, l'auspex en alerte, que Garance a décelé le chaos affectif et psychique de Romain. Attirée par la monstruosité psychique de l'enfant, elle est revenue nuit après nuit assister aux étranges phénomènes qui se produisent dans l'appartement des Catel-Réaux, et surtout s'imprégner de la détresse intérieure de l'enfant, car elle y trouve un écho de sa propre détresse. (...)