Trois vampires et un couffin
sur La Cour d'Obéron au format (67 Ko)
Ce scénario est conçu pour des vampires parisiens appartenant aux Korrigans, mais il peut très bien être joué avec des vampires de passage devant un service à Villon ou cherchant à entrer en grâce à ses yeux. Il est conçu comme une enquête, aussi n'existe-t-il aucune trame linéaire. Cependant, les principales pistes que les PJ sont susceptibles de suivre sont détaillées. Deux conseils : 1. Les fiches des PNJ sont parfois très détaillées : lisez-les attentivement car elles contiennent un certain ...Contient : opéra (7)(...) Garance devine la force et la brutalité du vieux boyard, et Petraskov sait qu'il est sur un territoire de chasse qui n'est pas le sien, et où il n'a rien à faire puisqu'il ne s'est pas présenté au Prince. Garance fait alors appel à Abicello, l'autre 'fantôme de l'Opéra', pour veiller plus efficacement sur Romain, et Petraskov utilise ses goules pour faire de même : Tcheko et Piotr Sasskatchevo se relaient devant l'immeuble. (...)
Elle leur dira aussi comment elle a sauvé Abicello au siècle dernier. S'ils s'obstinent à la filer, elle les mènera jusqu'à l'opéraGarnier où elle disparaîtra mystérieusement. 4. Se rendre sur les lieux de la destruction d'Abicello, dans la cave calcinée du 6, rue Prosper Mérimée. (...)
Si les PJ dévoilent leur vraie nature à un membre de 'Jeunesses Chrétiennes etTradition', l'abbé Mauvert mènera contre eux une guerre totale, en personne, secondé dans ses attaques par Brabançon et ses skins. 5. Si Ivanissévitch ou Petraskov apprennent que le refuge de Garance est l'opéraGarnier, ils lancent l'abbé Mauvert et ses partisans à l'assaut du repère. Le combat a lieu dans les coulisses et les caves, ou dans les combles, alors que le tout Paris écoute le Deutsches Requiem, de Brahms. (...)
Les investigations qu'il a faites lui ont permis de retrouver une poignée de cendres dans la cave calcinée du 6, rue Prosper Mérimée, dans le XVI°. Il sait qu'Abicello avait élu domicile dans les sous-sols de l'opéraGarnier et qu'il avait failli être découvert alors qu'il était en torpeur par un journaliste, dans les années 1880. (...)
Nombre de brillants et de bagues anciennes chargent ses doigts d'albâtre. Lorsqu'elle erre sur les toits de l'opéraGarnier et de Paris, elle revêt un simple caleçon noir, un col roulé de cachemire noir et un boléro noir galonné de rouge. (...)
Elle ne rate toujours pas un événement culturel, et elle est connue par le tout Paris comme une mystérieuse beauté, la baronne Béjart de Poquelin. Elle a fait son repère dans l'opéraGarnier, où elle a découvert en 1879 un autre vampire, un nosferatu, Abicello. Quoiqu'éprouvant du mépris pour le nosferatu, elle l'a sauvé par la suite des investigations d'un journaliste célèbre, Gaston Leroux. Elle a inspiré le récit du fantôme de l'opéra, et son charme a également inspiré le parfum de la dame en noir. Quoi qu'il en soit, Abicello se montra très reconnaissant et multiplia les petits services rendus à Garance. (...)