Bayonne sous les Cendres
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Contient : cataclysme (13)(...) Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels qui préféraient se cacher dans la vase plutôt que d'affronter la police et la justice locale. Toutefois, en 63 après lecataclysme, Bayonne intéressa une catégorie de ressortissant Basques : les Kortsario de l'Erregina, et plus précisément l'un d'eux : Toribio Otchoa, qui avait les faveurs de sa Reine. (...)
Pourquoi Bayonne ? Essentiellement à cause de la Citadelle militaire qui s'y trouvait et qui avait bien résistée aucataclysmeet aux années qui suivirent. Il souhaitaient ainsi acquérir des terres en servant sa Reine et passa le marché suivant avec elle : Il restructurait la ville de Bayonne et lui rendait son rôle historique (celui d'une place forte permettant le contrôle des entrées et des sorties dans le Royaume) et en échange Toribio devenait le gouverneur local et pouvait monter son école maritime. (...)
Généralités : Le Bayonne du monde de Cendres est bien plus petit que celui que nous connaissons. Le raz de marée qui à suivi lecataclysmeà nettoyer toute la région de la quasi-totalité des infrastructures. En se retirant, l'eau à laissé un grand nombre de saleté, de vase, et les marais ont naturellement repris leurs droits, tout comme l'Adour qui à repris son tracé initial en plus de celui qui lui fût imposé au XVIème siècle. (...)
On trouve aussi un peu vers l'est de cette place l'ancien cimetière de Bayonne qui à été relativement épargné par lecataclysmeen fonction de sa position élevé et dans les terres. Ce cimetière est toujours ouvert aujourd'hui et de nombreux Bayonnais y sont encre enterrés. (...)
Petit Bayonne : Quartier historique de Bayonne à bien des points de vue, le Petit Bayonne à évident subit des changements depuis lecataclysme. Toutefois, des trois quartiers de Bayonne il est celui qui ressemble le plus à ce que nous connaissons aujourd'hui. (...)
A l'opposé de la Caserne, se trouve l'église Saint-André de Ravenna qui donne son nom à la place. Cette église à pas mal souffert ducataclysme, mais la foi des gens du quartier les as poussé à la reconstruire tant bien que mal. Nous avons donc ici une église dans le même style que les habitations, hétéroclite, basse, et fragile. (...)
D'une certaine façon, c'est un peu un retour au source pour ce bâtiment ancien qui avait été construit, bien avant lecataclysme, pour être un hôpital militaire. Cet institut est aujourd'hui religieux, et est tenue par la Mère supérieure Maïtéa de l'église de Ravenna (grande amie du Père Ohri) et ses nombreuses soeurs, certaines étant même des filles du quartier. (...)
Il existe également un parc immense partant des Allée Paulmy au Carrefour de Saint-Léon (recouvrant les parkings d'avantcataclysme) et allant jusqu'au pied de la Cathédrale Sainte Marie, à la Porte d'Espagne et à la place des Basques. (...)
Le Cardinal vie dans les appartements voisins de la Cathédrale déjà réservés aux religieux avant lecataclysme. Le reste du pâté de maison appartient également au clergé. Ce sont des logements pour les prêtres, les invités de hauts rangs et également une école cléricale qui sert à former (qui à dit formater ? (...)
Mais généralement, on croise peu de Biarrot en dehors de chez eux. * Chiberta : L'ancienne forêt n'avait déjà pas une très bonne réputation avant lecataclysme. Ce n'est guère mieux maintenant. La forêt est à moitié noyée dans les marais et est très difficilement praticable en raison de ses nombreux sables mouvants. (...)
Les baraquements temporaires et les constructions récentes (dont la grande verrière de l'accueil) ont été complètement rasés par lecataclysme. Autour de l'hôpital ont été rénovées de nombreuses habitations accueillants les médecins et leur famille. (...)
Les soins dispensés à l'hôpital de Bayonne sont relativement bon. Ils équivalent à ce qu'étaient la médecine à l'aube des années 50 avant lecataclysme. Bien sur, tout ce qui est scanner et radiologie ne fonctionne plus. Par contre, les générateurs électriques fonctionne et l'eau courante à été rétablie. (...)
Les fêtes sont finies, mais il est temps de nettoyer et de ranger la ville, sans oublier de libérer les lampadaires de leurs lourds fardeaux. Contrairement à ce que Bayonne connaissait avant le grandcataclysme, les fêtes actuelles sont assez meurtrières. Les Gudaris tâchent d'assurer un maximum de sécurité pendant les fêtes, mais ils sont très vite débordés. (...)Un peu d'histoire : Comme nous le savons, au Pays Basque comme ailleurs, les grandes villes côtières furent rasées par le tsunami qui suivi la catastrophe. Bayonne ne fît pas exception à cette règle, et le nombre de mort fût considérable dans la citée, et dans tout le district. Longtemps, la ville resta à l'état de ruines malodorantes, à demi ensevelie dans la vase et à nouveau entourée de marais sombres et dangereux à pratiquer. Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels ...