Bayonne sous les Cendres
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Contient : militaire (5)(...) C'est ainsi qu'il obtenu d'elle le droit de nettoyer Bayonne et d'en faire son fief. Pourquoi Bayonne ? Essentiellement à cause de la Citadellemilitairequi s'y trouvait et qui avait bien résistée au cataclysme et aux années qui suivirent. Il souhaitaient ainsi acquérir des terres en servant sa Reine et passa le marché suivant avec elle : Il restructurait la ville de Bayonne et lui rendait son rôle historique (celui d'une place forte permettant le contrôle des entrées et des sorties dans le Royaume) et en échange Toribio devenait le gouverneur local et pouvait monter son école maritime. (...)
Ceci fait, Toribio redonna à la ville une activité portuaire et industrielle malgré l'ensablement du port. Au final, peut lui importe la rentabilité de ce dernier, ce qui l'intéresse est son attraitmilitaire. Toutefois, à ce jour, une petite centaine de familles de pécheurs survivent tant bien que mal de la pêche locale. (...)
Voila pourquoi la plupart de ces jeunes redoublent d'audaces tout au long de leurs études. D'autres, plus sages, préfèrent passer ici leur servicemilitaireobligatoire plutôt que dans les camps habituels. Généralités : Le Bayonne du monde de Cendres est bien plus petit que celui que nous connaissons. (...)
D'une certaine façon, c'est un peu un retour au source pour ce bâtiment ancien qui avait été construit, bien avant le cataclysme, pour être un hôpitalmilitaire. Cet institut est aujourd'hui religieux, et est tenue par la Mère supérieure Maïtéa de l'église de Ravenna (grande amie du Père Ohri) et ses nombreuses soeurs, certaines étant même des filles du quartier. (...)
Aujourd'hui il se console dans les bras de quelques dames de joies, au grand malheur de son fils Salbatore qui vit très mal le comportement de son père et s'est engagé dans l'écolemilitairede Bayonne et compte bien déguerpir le plus loin possible de son père. Olive Rioseco : Olive Rioseco est un commerçant de la rue Bourgneuf dans le Petit Bayonne. (...)Un peu d'histoire : Comme nous le savons, au Pays Basque comme ailleurs, les grandes villes côtières furent rasées par le tsunami qui suivi la catastrophe. Bayonne ne fît pas exception à cette règle, et le nombre de mort fût considérable dans la citée, et dans tout le district. Longtemps, la ville resta à l'état de ruines malodorantes, à demi ensevelie dans la vase et à nouveau entourée de marais sombres et dangereux à pratiquer. Plus personne n'y vivait hormis quelques reclus ou criminels ...