Singeries
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Ce scénario conviendra à un Gardien des arcanes raisonnablement expérimenté, cornaquant des joueurs et des Investigateurs efficaces. Si vous le désirez, il peut se raccorder à l'épisode new-yorkais des «Masques de Nyarlathotep. La lecture de la nouvelle « Arthur Jermyn » est conseillée. Introduction : New York, 16 janvier 1925. Les Années folles battent leur plein. Les pages Faits divers des journaux sont pleines de gangsters, de trafic d'alcool, d'histoires de corruption à la Maison-Blanche ...Contient : new (15), yorkaiseSingeries Ce scénario conviendra à un Gardien des arcanes raisonnablement expérimenté, cornaquant des joueurs et des Investigateurs efficaces. Si vous le désirez, il peut se raccorder à l'épisodenew-yorkais des «Masques de Nyarlathotep. La lecture de la nouvelle « Arthur Jermyn » est conseillée. Introduction :NewYork, 16 janvier 1925. Les Années folles battent leur plein. Les pages Faits divers des journaux sont pleines de gangsters, de trafic d'alcool, d'histoires de corruption à la Maison-Blanche. (...)
Les journaux en reparleront deux jours plus tard, pour signaler qu'il s'agissait d'une certaine Sarah Morgan, 19 ans, originaire d'Haback's Corner, une petite ville du Mississippi. Le lendemain, ses parents débarquent àNewYork, prennent livraison du corps et engagent un détective privé pour qu'il « retrouve le salaud qui a poussé notre fille au suicide ». (...)
Ses expériences firent quelques dizaines de morts et début 1914, il fut contraint de quitter Bruxelles, où certaines affaires de disparitions menaçaient de le rattraper. Installé àNewYork, il garda un profil bas pendant quelques années, avant de se remettre au travail début 1919. (...)
et Mme Morgan : Isaiah et Katharine Morgan sont deux quinquagénaires desséchés et étroits d'esprit, qui n'ont jamais lu autre chose que la Bible et qui n'ont jamais quitté Haback's Corner (603 habitants) avant cette semaine. Ils ne cachent pas à l'Investigateur que, pour eux,NewYork est une ville livrée à Satan. « Une fois que vous aurez trouvé ce fumier, vous me faites signe, je viens avec des potes et on le pend », suggère M. (...)
Elle a quitté la ferme il y a un peu plus d'un an, après une violente dispute avec sa mère (« Pensez donc, je l'ai surprise à se mettre du rouge à lèvres!»). Ils sont sans nouvelles depuis. Ils ont appris sa mort par la police deNewYork, et craignent fort qu'elle ne brûle en enfer, bien qu'ils ne puissent s'empêcher d'espérer que le Seigneur lui ait accordé le repos éternel. (...)
Banner l'a autopsié, sans rien découvrir d'extraordinaire, et s'en est débarrassé en le jetant dans l'incinérateur de la morgue. * La recherche de la chambre de Sarah est un vrai travail de détective. Il va falloir sillonnerNewYork, poser des questions à des douzaines de propriétaires d'hôtel pas causants, leur montrer une photo de Sarah fournie par les Morgan, faire une multitude de jets de Baratin. (...)
Le culte du Gorille blanc et la cité perdue du Congo apparaissent en filigrane dans l'épisode kenyan et, de manière encore plus diffuse, à Shanghai. Lors de son séjour àNewYork, M'Weru se présentait sous le nom d'Anastasia Burnay, et prétendait être originaire du Congo belge. (...)
Van Arvelde l'a aidée à s'introduire aux Etats-Unis et a fait de gros efforts pour la «lancer» dans la bonne société. Ce n'est pas lui qui l'a présentée à Carlyle, il est trop prudent pour ça, mais les articles duNewYork Pillar qui parlent « d'Anastasia » le mentionnent parfois comme «un ami très proche de la poétesse africaine ». (...)
Jackson Elias avait fait le lien entre eux, et les Investigateurs trouveront dans ses papiers une petite lettre d'Arvelde, sur le thème « en effet, j'ai bien connu la personne en question et je serais heureux de vous en parler lors de votre prochain • passage àNewYork. » Si les PJ remontent cette piste, ils trouvent un Arvelde tout à fait aimable, qui leur raconte une foule de petits riens sur Anastasia. (...)
Noyez les deux affaires auxquelles il est lié (la mort de Sarah Morgan et celle de Max Hartwell) au milieu des événements de ce premier chapitre. Notez au passage que Van Arvelde en sait long sur la branchenew-yorkaisedu culte de la Langue sanglante. Il appellera ses membres à la rescousse si les Investigateurs se montrent encombrants. Mario Aldrovanti : Consulté, le sergent Murphy confirme l'impression de Patricia. (...)
Max Hartwell, surnommée «le nouveau Barnum» ou «le maître des monstres», est retrouvé étranglé dans sa luxueuse résidence duNewjersey! Dans le style de l'époque, les journalistes ne donnent aucun détail, mais laissent entendre que le crime a été d'une grande violence. (...)
En semi-retraite depuis plusieurs années, Hartwell vivait tranquillement dans un grand domaine. De l'avis général, c'était un homme doux et bon. Il était veuf et sans enfant. La police duNewJersey aime encore moins les amateurs que celle deNewYork, mais les PJ finiront sans doute pas l'amadouer. Il est possible de consulter le rapport d'autopsie (Hartwell a été étranglé par d'énormes mains simiesques) et d'interroger la gouvernante (une naine bossue nommée Mina, qui adorait son maître). (...)
La culture d'origine des hommes-singes est matriarcale et, théoriquement, elle devrait dominer Jacob. Depuis qu'ils sont àNewYork, elle a perdu le contrôle de la situation au profit de Van Arvelde. Servir de «mère adoptive» aux hybrides est la dernière chose qui l'empêche de prendre la fuite - mais pour aller où, de toute façon? (...)