Visions de l'Enfer
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La poursuite d'un ennemi insaisissable, hybride d'humain et de créature de la nuit, sera le prétexte pour attirer les aventuriers dans le voyage le plus périlleux qu'ils feront jamais : au-delà de Ravenloft, ils seront confrontés dans les limbes à tous les vices qui se cachent en eux, dans un Enfer tel qu'il est conçu par Dante, c'est-à-dire peuplé des créatures de la mythologie grecque qui gardent les lieux mais aussi instruisent les mortels... Introduction Ce scénario fait suite à « On l ...Contient : peau (4)(...) Les aventuriers ne tarderont pas à croiser des habitants du pays, occupés à traire une vache ou cultiver leurs terres, et auront leur premier choc. Ils sont tous d'une laideur innommable, lapeautuméfiée, les yeux à des hauteurs différentes, un bec de lièvre et toutes les tares les plus disgracieuses que l'on puisse imaginer. (...)
Puis lorsque la fureur de la vestale retombe, elle s'ouvre normalement, laissant apparaître ce qui reste de Médusa : sapeauest recouverte de cloques purulentes, son crâne est presque chauve, elle est couverte d'ecchymoses et de scarifications qu'elle se fait elle-même. (...)
1 (dague 1d6+2, bonus d'attaque sournoise x5), Se cacher dans l'Ombre 85%, Mouvements Silencieux 70%, peut utiliser ses parchemins de Cri, Forme Ectoplasmique, Hâte,Peaude Pierre, et Tentacules Noirs d'Evard avec 55% de chances de succès, 9000 PX. Alors que l'elfe sera complètement ensanglanté et hors d'état de se battre, il continuera de se traîner aux pieds des aventuriers en leur disant qu'il n'aura pas de repos tant qu'Aphrodite sera menacée, qu'elle lui appartient et que nul ne peut la posséder à sa place. (...)
Contrairement à ce que devaient imaginer les aventuriers, Aphrodite n'est pas une elfe, et surtout, elle est très laide. Sapeaujaunâtre écailleuse est recouverte d'une huile visqueuse et noire, elle empeste la marée, ses cheveux aile de corbeau sont sales et emmêlés, sa face est très large et plate, avec des yeux à strabisme divergent, et des fentes branchiales s'ouvrent à la base de son cou. (...)