Le Journal de Lycia (Premières chroniques) - Marelles
J'étais à la fois terrifiée et fascinée. Debout dans les profondeurs du château, où les ténèbres reculent devant Sa magie, je contemplais la Marelle. Combien de fois n'avais-je pas imaginé, rêvé cet instant...retenir mon souffle et lentement avancer...inspirer profondément pendant qu'un long frisson me parcourt. Sous mes pieds, Elle prend vie à chacun de mes efforts, ma vie...mes souvenirs, bons, mauvais, surtout les meilleurs, mais toujours je ressens la détresse de l'abandon...pourtant, je continuais...encore ...Contient : paroles...émerveillement sur le visage de Marelsa. Sa décision était prise, j'en étais certaine. Je lui répétais donc lesparolesprononcées autrefois par l'homme en noir, celles-là même que je m'étais remémorée... [Détails]Le Journal de Lycia (Premières chroniques) - Premiers
pasPendant des dizaines d'années, j'ai cherché sans relâche un moyen de retrouver la trace de Père. Les premiers temps, j'arguais pour moi même le simple attachement filial, mais les années aidant, je finis par m'avouer qu'entrait dans mes sentiments un immense besoin de comprendre. Comprendre ce qui avait provoqué son départ, comprendre pourquoi je traversais les siècles sans subir la morsure des années. Et lui seul probablement détenait la réponse à mes questions. Aussi loin que je puisse remonter ...Contient : paroles...la pièce. Nous eûmes alors droit à un sermon sur la confiance, entre nous, envers lui, etc... Autant deparolesqui me semblaient étranges après une année au côté de l'homme en noir ! Un peu plus tard, quand... [Détails]Le Journal de Lycia (Premières chroniques) - Le commencement
Je m'éveillai ce matin là dans un lieu étrangement familier. Dehors, le ronflement assourdi des moteurs indiquait l'heure de pointe. Quelque chose clochait...Je m'étirai en contemplant la photographie au mur et comme mes muscles s'éveillaient, la mémoire revint. Une fois parvenue au centre de la Marelle, épuisée, je n'avais plus eu de pensée que pour un lit confortable et sécurisant. Pourtant le souvenir d'avoir évoqué mon appartement sur Terre ne me revenait pas. Je me levais et me dirigeais vers ...Contient : paroles...dirigeai vers la salle de bain. Je me déshabillai et me laissai aller au plaisir d'une douche chaude. Lesparolesde l'homme en noir sur la différence de flux temporel entre Ambre et l'Ombre Terre me revinrent... [Détails]