Orkish et le Noir Parler
sur Ambar Eldaron au format (102 Ko)
I: Orkish : Concernant le langage des Orcs dans les Jours Anciens 'il est dit qu'ils n'avaient pas de langage propre, mais prenaient ce qu'ils pouvaient des autres langues, et les pervertissaient à leur goût, mais ils faisaient seulement des jargons brutaux, à peine suffisants pour leurs propres besoins, à moins qu'ils le furent pour des malédictions et des forfaitures' (SdA Appendice F). Un exemple de 'ce qu'ils pouvaient pervertir des autres langues' peut être trouvé dans UT:92, où nous apprenons ...Contient : théorie (2)(...) Dans la transcription, il est séparé de burzum par un trait d'union, mais il n'y a rien de correspondant dans l'inscription en Tengwar sur l'Anneau, ainsi ceci peut être considéré soit comme une postposition soit comme une terminaison locative. (Il est remarquablement similaire au Quenya -ssë et peut supporter lathéorieavancée par Robert Foster dans son Complete Guide to Middle-earth, que le Noir Parler était dans une certaine mesure basé sur le Quenya et en était une perversion. (...)
(D'un autre côté, Gandalf présente sa traduction de l'Inscription de l'Anneau avec les mots 'ceci dans la Langue Commune est ce que cela dit, à peu près', un terme qui suggère que la traduction n'est pas précise à 100 %. Enthéoriec'est en outre une traduction d'une traduction, puisque Tolkien plus tard traduisit la version en Langue Commune apparaissant dans le Livre Rouge en anglais. (...)