Chroniques siciliennes 1 : l'Odyssée des Typhonides
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Contient : trop (9)(...) » Si on lui pose des questions sur les Gurzilistes, il peut être au courant par les aveux d'un prisonnier. En revanche si on lui posetropde questions, il mettra fin à l'entretien, notamment sur le contenu du message. Il répondra à la rigueur que c'est diplomatique. (...)
Si les PJ ne proposent pas leur aide, les villageois (surtout des femmes et des vieux, les hommes étant très pris par les guerres incessantes) les supplient de les débarrasser du monstre et de sauver Ernesto s'il n'est pastroptard. Ils peuvent, si les PJ ne sont pas chaud, parler d'une modeste récompense, ce qu'ils pourront (à savoir que ce sont des paysans et qu'il n'ont pas vraiment d'argent, leur fortune est plus en terme de céréale, vin et bétail. (...)
Si les PJ ne veulent pas les aider, ils se feront traiter de tous les noms, voir devront éviter des tomates pourries, et le peu d'hommes du village, plus très jeunes outropjeunes, partiront dans les vignes. S'ils acceptent, reprendre la partie précédente. Une fois le terrible sanglier mort, si les PJ décident d'aller au village, on les accueille en héros, et ils bénéficient de l'hospitalité du village. Les PJ ne devraient pas vouloir restertroplongtemps, mais s'ils le veulent, ils le peuvent. Il ne se passe rien de spécial si ce n'est que les villageois sont de plus en plus collant et saoulant et qu'ils vont leur demander de les aider à des tâches champêtres difficiles et pénibles ça et là. (...)
Des paysans rentrent et sortent sous le regard attentif des gardes. A l'entrée de la cité, si leurs armes et armures sonttropvisibles, les gardes leur bloque le passage et leur demande ce qu'ils viennent faire, sinon, ils passent tranquilles et peuvent se rendre au port directement par exemple, s'ils ont décidés d'aller retrouver de suite Galatée, dans ce cas, ils peuvent facilement « emprunter » ou louer une embarcation. (...)
Un garde tout de même placé à l'entrée des cuisines. Pour la suite voir Assassinat. Assassinat : Après une nuit calme, même beaucouptropcalme, des gardes armés viennent les réveiller brutalement, leur ordonnant de les suivre, ils sont menaçants. (...)
Une fois en mer, dans le détroit de Messine, les PJ se retrouvent propulsés à vive allure par les vents qui soufflent de plus en plus fort (s'ils fuient Messine, c'est de bonne augure, enfin ... le croient-ils). Le vent esttropfort, au bout d'un moment, leur mat se brise et ils sont entraînés par des courants violents et secoués par de grosses vagues qui manquent de les renverser à plusieurs reprises. (...)
Ils voient l'ombre disparaître puis plus tard, leur laissant le temps de paniquer, réapparaître sur leur droite à bonne distance. Un peu après, le courant ralentit, la mer devient un instant beaucoup plus calme, beaucouptropcalme. En effet, quelques instants plus tard, ils se sentent de nouveau entraîner, mais à l'opposé du courant précédant, et celui là sembla accélérer beaucoup plus vite. (...)
Les dauphins passent à travers le bord du tourbillon à leur tour. Les PJ doivent rester en apnée près d'une minute, beaucouptroplong, ils commencent à voir des étincelles puis ça devient noir. Soudain, un air froid et humide pénètre de nouveau dans leurs poumons. (...)Livre I : Bataille Punique : Eté 270 av JC : Les PJ sont arrivés à Syracuse (Sicile) afin de se faire recruter, sachant que de nombreuses batailles se mènent régulièrement entre Carthaginois et Grecs sur l'île depuis plusieurs décennies (même depuis des siècles). S'il n'y a pas de PJ avec des compétences de marin, rajoutez un PNJ avec eux. Note historique : La Sicile est longtemps restée divisée entre cités grecques et cités carthaginoises. Sa position stratégique en fait un enjeu ...