Paris aux mains des Ventrues de Rome (2)
sur Maëlkavian
Tumultes à Paris : Quelques années plus tard, les Toréadors de France ne purent empêcher le pape Alexandre II de donner son accord aux Normands pour l'assaut contre l'Angleterre. En 1066, les hommes de Guillaume débarquèrent à Pevensey et gagnèrent la bataille de Hastings. A Noël, Guillaume fut sacré roi d'Angleterre : les Ventrues de Garibald bénéficiaient d'un soutien inespéré dans leur lutte contre Alexandre et Saviarre. Les Brujahs de Quintilius firent à nouveau parler d'eux en investissant ...Contient : mithras (7)(...) Le Brujah n'oublia pas ses sauveurs et leur promit qu'un jour ils se tiendraient au côté des puissants qui dirigeront Paris. A ces mots Ranerius avait souri et souhaité bonne fortune à Kulin. L'ombre deMithras: Louis VII continua de s'opposer à Henri II en dressant ses fils contre lui et en soutenant l'archevêque de Canterbury Thomas Beckett. (...)
Malgré la poursuite des combats entre caïnites, plusieurs Fidèles s'exilèrent et attisèrent les luttes intestines. Mais l'ombre de l'ancienMithrasrendait de plus en plus incertaines les conjectures portant sur l'évolution des conflits. Le vieux Ventrue gagnait chaque nuit un peu plus d'influence : les rapports des Fidèles à Saviarre décidèrent Alexandre à sortir de son mutisme et à s'entretenir avec ses lieutenants Thibaud, Sigebert et Conrad. (...)
Saviarre voyait derrière le trône d'Angleterre et le duché de Normandie la main de Garibald à laquelle venait maintenant se mêler celle, plus diffuse et insidieuse deMithras. Philippe serait-il capable de relever le défi anglais comme l'avait prédit Lore ? La cabale Lasombra de Quintavallis se limitait alors au domaine religieux et n'inquiétait pas le pouvoir royal à proprement parler. (...)
Alexandre et Saviarre appliquaient tout leur poids dans l'acquisition de nouvelles terres, surtout aux dépens de l'Angleterre tandis que Garibald et Heinrich, ainsi que les Toréadors anglais, tentaient de freiner la progression de Philippe Auguste. Il faut accorder àMithrasd'avoir indirectement facilité l'action des Ventrues français. En effet, préparant activement son retour sur la scène politique, il écarta nombre de puissants vampires anglais ou sema la discorde dans leurs rangs. (...)
La même année, Kulpa quitta l'Aquitaine pour l'Angleterre où il se heurta aux vampires insulaires, Gangrels, Toréadors, Ventrues qui voyaient d'un mauvais oeil l'arrivée de cet homme de terrain qui ne parlait même pas leur langue et prétendait défendre leurs intérêts. Garibald devait donc faire face àMithraset à Alexandre, deux anciens aux pouvoirs colossaux et requit l'assistance d'Erchinoald. Ce dernier accepta de prêter main forte à Garibald en échange de concessions substancielles si la victoire face au grandissant royaume de France devait venir. (...)
Les frères ennemis : Le retour de Richard en Angleterre était très attendu par les Ventrues et les Toréadors insulaires. Garibald n'était pas sûr de ce queMithrasréservait au roi impétueux mais force est de reconnaître que les Normands furent exaucés. En 1194, Richard se réconcilia avec son frère Jean Sans Terre et repartit à l'assaut de la France. (...)
Garibald et Heinrich ruminent sur le statu quo actuel, tout comme le fait Saviarre, et préparent la contre-attaque tout en conservant un oeil inquiet surMithras. Erchinoald s'apprête à prendre une décision à propos de son allégeance à la Grande Cour. Les luttes intestines entre Toréadors et Ventrues reprennent de plus bel avec la mort de Richard, la polémique religieuse suscitée par Philippe Auguste et la fin de la guerre. (...)