Reflets d'Acide - Episode 13 : Dies irae, dies illa
sur Synops au format (74.2 Mo)
Dies irae, dies illa solvet saeclum in favilla (Jour de colère que ce jour-là, où le monde sera réduit en cendres). Reflets d'Acide, opus treizième : son titre est emprunté au Requiem de Mozart... Un épisode fleuve aux parfums vénéneux, qui distille et instille quelques sombres instants au milieu de classiques inflexions parodiques ! La quête guillerette, qui fut sans queue ni tête, s'est désormais changée en terrible menace... En voici les chapitres : 1 - Du volcan au gouffre. 2 - L'Ivresse ...Contient : odieux (3)(...) (Slach) NARRATEUR : et c'est ainsi que Moumoune eut la tête tranchée... et... hem... ouais... là, je dois avouer... j'ai eu la main lourde en fait... hmmmm... bref... Chapitre 3 - Près du Tribunal : NARRATEUR : Loin de ce drameodieux, en plein Maender-Alkoor, un samouraï entrait avec un prêtre retors, dans l'enceinte superbe d'un bâtiment doré... SHAMRODIA : Arrêtez... Arrêtez... je suis l'incarnation d'une divinité... (SBAFF ! (...)
mais bon, voyons, tâtons... NAR : Le diagnostic final fut fatal et brutal... TRI : Deux morts encé-phaliques, trois héros comateux... je me sens ago-nique devant ce drameodieux... NAR : c'est ainsi, c'est le jeu... de l'oie... TRI : Mais foi de Trichelieu... je vais prier les cieux... NAR : vivivivivi vieux... TRI : Tout petit devant toi, déesse Travia... Je t'en prie viens en moi, viens à moi... Je ne suis que ton oua...ille, ma foi croit en toi, tu incarnes la garce... LA GRACE... aide-moi... *petite voix* Miracle tenté. (...)
YAN : non non... BERNIE : encore une autre... YAN : j'en peux plus... c'est affreux... DEV : Aaaaaarh.... YAN : quoi ? DEV : J'ai un pressentiment... BERNIE : oh vraiment ? Merveilleux ! DEV : celui-ci estodieux... YAN & BERNIE : oh ? DEV : quoique non... c'est curieux... YAN : J'adore ta précision DEV : pardon... j'ai des visions... BERNIE : Voilà l'ultime porte... YAN : enfin... BERNIE : Une fois n'est pas coutume... nous devrons de concert chantonner cet air là... DEV : ah bon ? (...)