Le roman des Minotaures
sur L' Etincelle au format (216 Ko)
Excellences, veuillez trouver ici joint un manuscrit trouve récemment dans la cave d'une auberge, ainsi que le rapport du mage à qui il a ete communiqué. Je ne saurai trop m'avancer, mais si cette lettre est véridique, nous nous trouvons en possession d'informations mettant a la lumière (sans jeu de mots de mauvais gout) les origines mythique d'un des peuples saisonnins les moins connus. Bien entendu la prudence s'impose car la véracité de ce texte ne saurait être établie avec une absolue ...Contient : guerriers (17)(...) Depuis toujours, nos femelles manipulent la Substance pour en tirer leur magie colorée, alors que nos males, faute de pouvoir trouver leurs couleurs, se voient forcés d'endosser le role deguerriers. Quand il eu fini il se tut, et laissa place à la Matriarche Rouge, laquelle a son tour nous parla, pour nous annoncer que l'Enigme était dévoilée, mais que la quête n'arrivait à son terme que pour laisser place à une autre. (...)
Allons voir de quoi il retourne, le camp est en émoi. Avec raison. Je reprends la plume après deux heures de réunion. Ce que lesguerriersnous ont rapporté est éffarant: une forme de vie intelligente. Un des enfants de Nox, un démon. (...)
Après que nous ayons combattu dans la noire clarté de ces cavernes les troupes opalines gardant le barrage des Cranes, après que nos bravesguerrierset plusieurs des novices chromatiques soient morts en combattant les krakenoirs gardiens, enfin le barrage est tombé, innondant de ses fluides obscurs la plaine d'en dessous, et l'amas de végétaux qu'elle contenait. (...)
En effet, à peine la lumière diffuse de l'Essence dissipée, une horde de grands oiseaux noirs est sortie des nuages pour fondre sur notre troupe. Ils emportaient nosguerriersdans leurs serres et les faisaient tomber autour de nous comme des mouettes. Le tout en riant. (...)
Le combat fut apre, mais après la surprise de la première charge et lorsque le volonté de survivre eut surmonté chez mesguerriersle dégout de ces horreurs jaunes tigré de noir, le sabot se consolida et certains surveillèrent pour intercepter ces terribles heptapodes. (...)
Nous nous dirigiions vers la sortie de cet enfer quand des gémissements sortirent des cavernes tout autour de nous. Des gémissements en langue minotaure, avec les voix desguerriersenlevés. Ceux ci parlaient dans des voix inconnues et leur langue se changeait parfois en un dialecte inconnu formé de sons cliquettants et rapides. (...)
Nous ne pouvions les laisser à ce sort, mais nous ne pouvions pas non plus risquer la vie des femmes et des futurs enfants. Aussi en fut il décidé ainsi: certainsguerriers, deux cent (je regrette de ne pas en avoir eu plus à envoyer, mais nos nombres sont désormais tellement restreints) allaient entrer dans les tunnels et tenter de libérer le plupart des notre emprisonnés. (...)
Les autres (dont moi) allaient accompagner les femelles jusqu'à la sortie du défilé. Ainsi fut fait et lesguerrierschoisis firent leurs adieux à leurs amis et femelles. Puis ils entrèrent dans cet enfer. Je n'y suis pas allé, aussi ne puis je consigner ici que ce que les survivants (une cinquantaine) ont pu me relater. (...)
En fait ceci m'inquiête plus que tout, car alors qu'ils les libéraient de cette influence maligne, nosguerriersont compris que les sentinelles gardaient quelque chose en ces lieux. J'ai d'abord cru que c'était simplement des reines ou des oeufs, mais je crains qu'il n'y ait autre chose. Nous avons également découvert autre chose. Parmi les prisonniers rammenés par nosguerriers, était une matriarche. Une matriarche que nous croyions morte bien avant que nous ne nous réunissions à la Pierre: la matriarche bleue. (...)
Le combat fut apre, mais après la surprise de la première charge et lorsque le volonté de survivre eut surmonté chez mesguerriersle dégout de ces horreurs jaunes tigré de noir, le sabot se consolida et certains surveillèrent pour intercepter ces terribles heptapodes. (...)
Nous nous dirigiions vers la sortie de cet enfer quand des gémissements sortirent des cavernes tout autour de nous. Des gémissements en langue minotaure, avec les voix desguerriersenlevés. Ceux ci parlaient dans des voix inconnues et leur langue se changeait parfois en un dialecte inconnu formé de sons cliquettants et rapides. (...)
Nous ne pouvions les laisser à ce sort, mais nous ne pouvions pas non plus risquer la vie des femmes et des futurs enfants. Aussi en fut il décidé ainsi: certainsguerriers, deux cent (je regrette de ne pas en avoir eu plus à envoyer, mais nos nombres sont désormais tellement restreints) allaient entrer dans les tunnels et tenter de libérer le plupart des notre emprisonnés. (...)
Les autres (dont moi) allaient accompagner les femelles jusqu'à la sortie du défilé. Ainsi fut fait et lesguerrierschoisis firent leurs adieux à leurs amis et femelles. Puis ils entrèrent dans cet enfer. Je n'y suis pas allé, aussi ne puis je consigner ici que ce que les survivants (une cinquantaine) ont pu me relater. (...)
En fait ceci m'inquiête plus que tout, car alors qu'ils les libéraient de cette influence maligne, nosguerriersont compris que les sentinelles gardaient quelque chose en ces lieux. J'ai d'abord cru que c'était simplement des reines ou des oeufs, mais je crains qu'il n'y ait autre chose. Nous avons également découvert autre chose. Parmi les prisonniers rammenés par nosguerriers, était une matriarche. Une matriarche que nous croyions morte bien avant que nous ne nous réunissions à la Pierre: la matriarche bleue. (...)
Si elle disait vrai, alors nous avions tout fait pour rien. Notre marche. Les sacrifices. Nos enfants, tous cesguerrierstombés. Cette mère mettant au monde un enfant cornu. Kaarlat lui même. Non, pas Kaarlat, je ne regrette pas sa mort, elle a fait de moi le chef. (...)