Ballade nordique
sur Daiklave au format (192 Ko)
Ce scénario vise un groupe « typique » de solaires, jeunes, relativement inexpérimentés. Des élus nouvellement exaltés feront l'affaire, sachant qu'ils connaissent ainsi peu le monde et sont encore chassés, devant fuir pour rester en vie. Le scénario ne vise pas le rassemblement d'un groupe. Le niveau de puissance du scénario est donc bas, des élus entre 2 et 3 en quintessence, avec moins d'une vingtaine de charmes à leur disposition, éventuellement de la sorcellerie. A noter qu'un mage peut ...Contient : étendues (5)(...) Les rues (mélange de terre battue et de pavés) sont sales, sentent le poisson, en raison des nombreux marchés près du port, lesétenduessont d'abord couvertes de filets à sécher ou à raccommoder. La ville est populeuse, il y a de très nombreuses échoppes aux enseignes de bois ou d'ivoire. (...)
Les vents chargés de sable et de rouille de ce sort soufflent en hurlant, et une tornade se crée. Pour le voyage, décrivez les immensesétenduessauvages, les restes de champs de batailles (ossements, débris d'armes et d'armures brisés, tertres, crains, et pourquoi pas d'éventuelles marques étranges de choses ayant émergé de terre, de glyphes tracées avec du sang, de cranes empilés ou disposés les uns contre les autres en cercles ou pentacles... bref, le passage d'un ou plusieurs abyssaux). Lesétenduessauvages sont des landes, des taïgas, de la toundra, des montagnes aux neiges éternelles, des glaciers, des lacs toujours en partie gelés, mais aussi de nombreuses forêts, dont des forets gelées. (...)
Partie 2 Scène 1 Il n'y a gère de route que la grande voie marchande utilisée par la Guilde, mais nombre de villages ou petite villes fortifiées sont présentes. Dans les plaines venteuses, lesétenduesdésertiques sont la norme. Toutefois, on distingue au loin que sur les plus hautes collines ou sur des contreforts montagneux, des espaces de grandes plateformes servent d'aires d'atterrissage aux navires volants. (...)
Tout est complètement désolé et désert à perte de vue, et rien ne pourrait raisonnablement survivre dans sesétenduesvides. De plus, le paysage est trop déchiqueté pour être praticable autrement que par la voie des airs. (...)