Le refuge des infidèles : L'île de Carlos
sur Le Capharnaüm de Grolf au format (2.5 Mo)
Contient : nobles (5)(...) L'Inquisition prétendit qu'il avait embrassé la Sorcellerie et la considérait comme une pratique normale pour lesnobles, même si cela contredisait à la fois la théologie vaticine - et les propres opinions du Padre Carlos. (...)
La maladie frappa le vaisseau, tuant une grande partie de l'équipage et laissant les sorciers (pour la plupart desnoblessans aucune connaissance de la mer) voguer par eux-mêmes. Leur voyage se termina de manière abrupte lorsqu'ils s'échouèrent de nuit sur une île étrange et inconnue. (...)
Volstad déclara qu'ils avaient atteint là leur nouveau foyer. Les quelques membres d'équipage restants et lesnoblesutilisèrent alors les débris du vaisseau pour bâtir des abris et travailler la terre. Tout espoir de retourner sur Théah était vain mais la perspective d'établir une nouvelle colonie les maintint en vie. (...)
Ils renoncèrent à leurs titres de noblesses et à leurs noms, préférant simplement utiliser leurs prénoms. Cela aida d'ailleurs à réduire les tensions entre les sorciersnobleset les marins qui possédaient les compétences de survie nécessaires. Ils abandonnèrent également leurs différentes langues et convinrent de parler théan en toute occasion. (...)
A Théah, différents héritages coulaient dans les veines de la noblesse, permettant l'accès à la sorcellerie. Par exemple, les sorciers castillians possédaient la magie du feu tandis que lesnoblesmontaginois pouvaient se téléporter à travers des passages sanglants. Les premières générations de Carls se marièrent avec des gens du même héritage, préservant les lignées. (...)Traduction intégrale du chapitre consacré à l'Île de Carlos dans le supplément Islands of Gold. RESERVE AUX MAITRES DE JEU. "Réjouissez-vous mes amis, car Théus vous aime et veille sur vous. Malgré les péchés, malgré les faiblesses, Il vous aime." Histoire Il y a trois cents ans, un prêtre du nom de Padre Carlos de Rioja prêcha un sermon à sa petite congrégation, dans lequel il parlait de l'amour et où il déclarait que Théus avait une capacité infinie à aimer, quelles que soient les faiblesses ...