THE MORNING AFTER
Contient : trop (9)(...) Avec Hissssa (le Kang) on séchine sur les barreaux, si bien quon finit par les écarter pour que Dhrôl (le gnomekin) puisse sortir. Une fois dehors, il commence à rechercher nos affaires et la clef de la cage. Mais bon cesttroplong pour moi et toujours avec Hissssa on finit par arracher un barreau. Victoire ! On va pouvoir sortir. (...)
Je prends la tête, suivi par Hissssa, le groupe dépasse lendroit sans que rien ne se passe, caurait ététropbeau, à peine nous sentons nous hors datteinte, la créature bondit de sa cachette et nous menace. (...)
Tout semble calme, la sentinelle est endormie. Sans prendre de précautions particulières, mais en faisant gaffe de ne pas rameuter le villagetroptôt nous avançons sur le chemin. Manque de bol, à peine arrivé devant la porte, cet idiot de gardien à décider de reprendre sa tâche et se met à pousser des hurlements à réveiller un mort en nous voyant, puis il quitte son poste comme sil avait le feu au cul. (...)
Il faut que jvous dise que, quelque temps auparavant on avait rencontré une greluche Phantasienne plutôt en fin dcarrière et son homme, lui du genre jeune premier : cétait Starella et Phrixie qui sappelaient, Starella étant complètement entiché de son mignon. Y nous avaient contacté pour les aider dans une entreprise pastroprisquée mais bien payée. Phrixie sétait emmêlé dans une sale histoire et avait besoin dargent au plus vite. (...)
Après sêtre calmé un peu, il nous explique que cet anneau est un anneau Rajan, et que les Rajans sont tous des salopards quil faut zigouiller pour que leur race maudite séteigne à jamais. Toujours a exagérer ces mecs du désert ça doit être le soleil qui tapetropfort sur la calebasse ! Du coup notre discussion reprend car sil y a un Rajan dans laffaire Imladris veut être sûr quil sera bien converti, entendez par là bien mort, il me la expliqué une fois mais jai oublié. (...)
Bref dix minute à papoter pour nous faire payer la taxe d'entrée, comme si on était des princes, pastropdébordés de travail les loustics. Moi y m'aurait pas fallu deux minutes et avec politesse encore ! (...)
Une pour les gens d'la haute et une pour les communs à c'qui paraît, r'marquez qu'jai pas bien vu la différence vu qu'on à visité les deux et qu'j'ai les ai trouvétropsilencieuses, on était bien loin de cher double tranchant. Grâce aux indications on fini par se poser sur une plateforme et enfin entrer dans cette bien curieuse citée. (...)
Et si vous savez pas parler et lire leur dialecte vous êtes paumés dans un vrai labyrinthe à moins que comme nous vous ne croisez un d'ses types de j'sais putropoù qui baragouine toute les langues, fallait voir sa tronche au Dhrôl quand l'gars lui à répondu dans sa langue, y'était pu aussi malin . (...)
Pas de gardes on y va, enfin la porte, un p'tit coup d'il dehors, la voie est libre on s'précipite sur le bateau. Chacun mettant du sien pour accélérer les manuvres pour le départ. Pastroptôt a peine commencions-nous à décoller que la porte s'ouvre Holà du bateau , au nom de la loi restez ici, il vous est interdit de quitter les lieux ! (...)Les événements qui suivent ont été rapportés par Aspholède Fautus de Cymril, daprès le récit que lui en a fait Tamorgyl le Thrall. Ce scénario est disponible dans la section archives de ce site ainsi que sur la mailing list officielle anglophone de Talislanta, alors n'hésitez pas à vous y inscrire... Auteur : Stephen COOKE © 2001. ...