Pour le Septième de tes Fils : première partie de la
Campagnesur Chez Demehet au format (87 Ko)
C'est il y a bien longtemps maintenant que je quittais mon village de Bondost pour partir sur les traces d'Auric, un de mes amis, mais aussi sur celles de mon frère, Ganalaan, mystérieusement disparu lorsque j'avais 12 ans. C'était en 1623 S. T.(Solara Tempora), à l'époque où la constellation du Dragon s'était éteinte du ciel de Glorantha, notre planète, phénomène que ni les sages ni les magiciens ne savaient expliquer... Les premiers temps de mes errances restent flous dans mon esprit et je ne ...Contient : foule (7)(...) J'ai la conviction qu'il s'agit d'Iram de Noble Plume, l'auteur de la prophétie sur les Sept Fils. Je m'aperçois soudain que mon arme est maintenant en Foyëm. Me désignant lafouleassemblée au pied du balcon, Iram me dit : « la renaissance du roi est accomplie, va les mener à la victoire, regarde, tout ceci est à toi ». (...)
Le lendemain, alors que nous allions être pendus devant la population de Pavis rassemblée, un murmure qui allait s'amplifiant s'éleva de lafoule. En effet, la traversant et se dirigeant droit vers nous venait Lettis, bel et bien vivant. Arrivé devant l'échafaud, il toisa le chef des miliciens lunars et lui ordonna de nous libérer. Devant la pression de lafoulequi criait au miracle et invectivait la justice trop exécutive des lunars, l'officier s'exécuta et nous fûmes libres ! (...)
Ce Bloc est un énorme rocher en pierre noire et de forme géométrique qui s'élève du sol. Lorsque nous arrivâmes, une petitefoulese tenait sous le Bloc ; marchands, prêtres récitant leurs prières, badauds et pèlerins. Mais surtout, entourant le rocher, ce furent les 300 guerriers Taureaux Tempête qui retinrent notre attention. Faisant connaissance avec l'un d'entre eux, Bartock, nous apprîmes que cettefouleétait réunie pour le miracle des Larmes du Démon. Nous repérâmes aussi, cachés dans lafoule, quelques Danseurs Nomades qui recouvraient leurs faces bleues dans des tuniques à capuchons. Nous craignîmes qu'ils ne s'en prennent à Erian. (...)
C'est donc rempli d'une appréhension croissante pour ce que nous allions découvrir à Kalyz que nous poursuivîmes notre route. Sous les remparts de Kalyz, se tenait unefoulebigarrée d'hommes et de femmes qui semblaient tous en proie à une grande agitation. Le drapeau noir flottait sur la ville signe que celle-ci était en quarantaine. (...)