Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : fumée (3)(...) Le tout est invariablement accompagné de mets aussi fins que nombreux ; coca, bière, café et thé (par hectolitres), cacahuètes, gâteaux (au chocolat) et autres donners kebabs. Enfin, n'oublions pas dans cette mise en scène émouvante, les volutes defuméequi ne tardèrent jamais à former de gros nuages gris au-dessus de nos têtes sans qu'Orlanth n'eut jamais tonné et sans lesquelles notre ami Pochikalaan n'aurait jamais développé un tel score en apnée à l'air libre ! (...)
Les arbres, les fils et les araignées avaient été indifféremment calcinés, rognés, brûlés par de l'acide. D'innombrables cadavres d'araignées couvraient le sol. Derrière nous, de lafumées'échappait déjà de sous la porte de la tour. Il était temps de partir. En retournant vers notre campement, je remarquais que nous suivions plus au moins la trace laissée par le monstre lunar. (...)
je me retrouvais dans une petite clairière verdoyante ! Au centre de la clairière, quatre roulottes formaient un cercle autour d'un feu de camp dont lafuméese perdait dans le brouillard ambiant. A cet instant je réalisais ce qui se passait ; la brume, les roulottes, un lieu différent ; j'étais en Aorten Urpass ! (...)