Le Journal de Pochikalaan
sur Chez Demehet au format (158 Ko)
Avant propos : Plus que de révolutionner la littérature française, les pages qui suivent entendent être un récit fidèle des péripéties de quelques héros en un monde nommé Glorantha. Cependant, encore faut-il s'entendre sur le sens du mot « fidèle ». C'est pourquoi l'auteur tient à préciser que certains passages, tant pour des besoins d'écriture que de cohérence du récit ont du être un peu « revu » par rapport aux faits qui furent réellement joués. Néanmoins, que les protagonistes de cette histoire ...Contient : silhouette (5)(...) Tout à commencé après que nous eussions reprit la route, Galaor a repéré une forme au loin ; c'était une grandesilhouette, une créature au corps massif de 5 mètres de haut, possédant quatre pattes, mais se tenant sur les deux postérieures. (...)
Une impression de malaise grandissante s'empare de lui et c'est alors qu'il l'aperçoit, le crâne, le crâne de G'Baji flottant dans les airs à hauteur d'homme. Soudain, derrière le crâne apparaît unesilhouette, c'est le Roi des Dragonewts ! Visiblement il veut s'emparer du crâne, mais c'est alors que Phenric surgit des ombres. (...)
Une ombre semblait assise à la table, un homme de taille moyenne aurais-je dit. Je m'arrêtais d'avancer, écarquillant les yeux pour mieux voir quand lasilhouettedit d'une voix impérieuse : - Approche ! Aussitôt mes jambes se mirent en mouvement et je sus que jamais ma volonté ne pourrait s'opposer aux désirs de cet homme étrange... C'est un hurlement rauque et puissant provenant de la forêt qui me tira avec un sursaut de ce cauchemar. (...)
Rien de notable ne s'est produit depuis la mord de Férina si ce n'est qu'une tension de plus en plus lourde pèse sur la ville. Seul fait étrange, ce soir, alors que je retournais au conseil, il m'a semblé qu'unesilhouettese retirait rapidement de la grand'place à mon approche. Un voleur ou un ivrogne sans doute, car hormis les cendres du bûcher d'Eliabelle et le puits principal, rien ne se trouve en ces lieux. (...)
Mes soupçons trouvèrent bientôt confirmation puisque nous débouchâmes dans une clairière au milieu de laquelle se tenaient 7 autres samouraïs entourant une tente de soie et une chaise à porteurs. La chaise était entièrement recouverte d'un voile blanc qui ne laissait transparaître qu'unesilhouetteféminine. Les soldats kralori nous toisèrent sévèrement et avec désapprobation, et demandèrent dans leur langue à Argrath de nous désarmer avant d'autoriser Scott à s'avancer seul vers la chaise. (...)