Nightprowler 2 – Premiers pas dans la pègre
sur Les Portes de Salem au format (30 Ko)
Olivier nous a remis un carnet avec classement alphabétique pour noter nos contacts et des cartes mémos pour simuler des actions de poursuite, de combat, de marchandages, de crasses, etc. Nous évoluons dans le quartier du Vieux-Port de Béjofa. Par vieux, il faut entendre Ancien port, laissé à l'abandon, suite à son ensablement depuis la construction de digues. Il s'agit de l'une des zones les plus crasseuses et miteuses de la ville. Il y grouille près de 50 000 âmes dans une totale insalubrité ...Contient : tarik (11)(...) Dernière chose, si on le trahit, il nous fait trucider par ses deux ombres ! Pendant qu'Océane se change,Tarikse renseigne sur le chemin à emprunter pour rejoindre les « Trois flacons » et ainsi être près de notre objectif sans le citer nommément. (...)
Haut Comme Trois Pommes, un gamin de rue nous servira de guide contre quelques miches (centième d'une couronne d'or). Sur le route, nous mangeons un pain saucisse, etTarikse lie d'amitié avec Haut Comme Trois Pommes lui offrant une bouchée d'un succulent met. Il nous apprend que le territoire est racketté et sous contrôle des « Cols rouges ». (...)
Il est bien entouré, de 2 débits de boissons où l'on peut aussi s'étendre en gentille et belle compagnie contre quelques miches ou écus. D'un côté, la « Perdrix rouge » et de l'autre, le « Nid », plus luxueux, mieux entretenu.Tarikvoulant au départ acheter quelques onguents pour sa pauvre mère qui s'est cognée finit par se laisser aller à en acheter 4 tandis qu'Océane, pratique et pro, prendra quelques doses de contraceptif qu'elle obtient à bon prix, draguant et séduisant ce vieil apothicaire. (...)
Votre serviteur aurait bien fini sa soirée, affalée dans les coussins tant l'ambiance était sympa. Mes amis m'ont tiré de force hors de là.Tarikapprend par le mendiant que Lucilla est une brune aux cheveux un peu bouclés. Qu'elle est de type soloman, porte des vêtements jaunes et qu'elle se parfume. (...)
Ayant créé l'effet de panique et d'intrusion souhaité, ils sortent de l'auberge juste avant que les deux cerbères n'arrivent, ayant décollé leurs culs de leur tabouret. Comme prévu, Lucilla sort précipitamment par la porte du « Nid ».Tarikassis sur la terrasse se lève alors et tente infortunément (et ce ne sera que le début) de la faire basculer en avant, elle esquive. (...)
Le mendiant de tout à l'heure n'hésite pas un instant à siffler l'alerte à ses compères massés dans une rue plus haut pour lui prêter main forte et donner un coup de main à Lucilla qui prend ses jambes à son cou. On finit par la rattraper, lui sauter dessus,Tariksort son arme découpe la bandoulière et tirant à deux comme des forcenés, on finit par lui arracher son sac. (...)
Nous arriverons seulement à distancer les manants lorsqu'aidé par le nain, nous faisons tomber des poutrelles qui retenaient un mur qui s'affaisse, leur barrant la route. Dans une mansarde miteuse rapidement louée pour une heure, nous comptons notre butin : 347 Co. Là,Tariket le nain « prélèveraient » une petite somme tandis qu'Océane y plongerait à grosse poignée tandis que le félys y est farouchement opposé. (...)
), les futures relations, l'honneur d'Océane de Parsifleur mise en jeu (elle lui a révélé son nom), le contrat passé que soutientTariket qui trouve comme Océane que c'est une « affaire » à ne pas rater. Océane refuse poliment et ne trouve pas nécessaire de lui forcer la main par les hommes de l'auberge qui lui avaient proposé leur aide. (...)
On commence notre veille en attrapant un blaireau. Il n'y a pas de lumière, le félis craint qu'il n'y ait personne.Tariktient à rester, à voir ce que la nuit apportera, on est quand même sur place. La deuxième fois, c'est un hérisson qui nous réveille de notre torpeur, de notre ennui, dans la froideur de la nuit. (...)
On tire, il se détache de la porte. Le félys ne veut pas y aller, décidemment. Il est pourtant bien mieux bâti pour cela.Tarikdécide alors de grimper, passe le haut du muret, rate sa descente et s'écrase au sol, se blessant assez gravement. (...)
On arrive à semer la garde, à ne pas se faire remarquer. On planque le chien dans un soupirail, derrière quelques planches.Tarikpart alors à la recherche d'une malle et d'une charrette à bras. Tout cela coûtera fort cher et c'est là que notre avance ne va pas arrêter de fondre comme neige au soleil... Au retour, un citadin nous a vu, on achètera son silence, à défaut d'acheter ses bras, il est trop paresseux, venant juste de se réveiller. (...)