La Chambre du Meurtre
sur Le Site officiel de Dark Heresy au format (819 Ko)
Contient : tueurs (3)(...) Le scribe à la mine quelconque, présent chaque jour à sa station de travail, mais dont la demeure est remplie des trophées sanglants pris sur ses victimes; le père de famille aimant, retournant à son module d'habitation comme il l'a déjà fait des milliers de fois, mais pour y massacrer ceux qui l'attendent à bras ouverts ; lestueursinsaisissables, semblant à chaque fois s'évanouir sans laisser de traces... Peut-être ont-ils un jour ouvert une porte familière et se sont-ils retrouvés perdus. (...)
Dans de nombreux cas, ces homicides semèrent l'inquiétude dans des zones généralement épargnées par de telles horreurs, et les meurtriers (ou meurtriers présumés) avaient souvent mené une existence ordinaire et sans reproche avant de commettre leurs actes. Après investigation, l'élément commun le plus significatif était que lestueursavaient souvent disparu pendant quelque temps avant que leurs meurtres ne débutent. Sur l'ensemble de ces cas, lestueursfurent rarement appréhendés, et aucun ne fut pris vivant; après une période prolongée d'activité meurtrière, la plupart semblaient tout bonnement disparaître sans laisser de trace, en ne laissant derrière eux que des forces de l'ordre perplexes et une légende sanglante. Plusieurs membres de l'Inquisition jugèrent ce schéma récurrent quelque peu douteux, car trop éparpillé; ils suspectèrent un « faux positif », une analogie fantôme conjurée par les engins cogitateurs des lexmécaniciens. (...)« Le Dieu Rouge veille. » — Inscription sanglante trouvée à la demeure du préfet Boaz Chaim, porté disparu ainsi que les têtes des membres de sa famille. L'histoire de la Chambre du Meurtre est un mythe que se transmettent les assassins et les fous durant les longues heures de la nuit ; très peu en ont entendu parler à l'extérieur des asiles les plus isolés et des cellules obscures des condamnés à mort. L'Inquisition en est néanmoins venue à suspecter que cette histoire ne soit ...