Quatre Légendes
sur Qin - la légende au format (728 Ko)
Contient : petit (24)(...) Sitôt Yuè Hua remise sur pied, Zhàn Shì l'emmène avec lui un peu partout, pour rendre visite à ses patients ou pour aller ramasser des herbes aux alentours de la ville. Et à la maison, il l'a autorisée à venir dans lepetitréduit où il prépare certains de ses remèdes. Il a aussi entrepris de parfaire son éducation de façon plus formelle, et il n'est pas rare qu'il lise à la jeune fille les textes médicaux qui encombrent la pièce principale de sa demeure ou, lors de leurs sorties dans les collines environnantes, qu'il lui demande avec un bâton de reproduire dans la terre les caractères qui symbolisent plantes et minéraux. (...)
Dès lors, il lui suffit de suivre Zhàn Shì , tâche simplifiée au début par la présence sur la route des nombreux marchands qui sillonnent les routes du Zhao et des paysans venus vendre en ville leurs produits. Alors que le soleil approche du zénith, Zhàn Shì quitte la route principale pour suivre unpetitchemin serpentant entre deux rangées d'arbres. Se dissimulant derrière les troncs, Yuè Hua continue de suivre son maître. Bientôt, celuici pénètre dans unpetitbois et, dans la clairière au centre de celui-ci, arrive au campement d'un groupe de bûcherons. (...)
Avançant à tâtons, morte de peur, elle continue pourtant à avancer, guidée par le son cristallin d'une clochette, et arrive en haut d'unpetitescalier de pierre. En bas, Zhàn Shì est baigné dans la lumière d'une lanterne posée à ses pieds ; sa main gauche décrit de petits mouvements qui provoquent les tintements de la cloche, tandis que sa main droite, armée de l'épée de bois, tient en respect une créature spectrale. (...)
Il sembla aux villageois apeurés que rien ne pouvait empêcher le bandit de fendre en deux leur champion. Pourtant, celui-ci fit alors unpetitpas de côté, saisit le bras de Chien Fou qui s'abattait dans un geste meurtrier et, usant de la force de ce coup, projeta son adversaire par-dessus son épaule. (...)
Et au matin suivant, humble et plein de bonne humeur, il reprit sa route, abandonnant aux villageois la récompense promise pour la capture du bandit. » Le vieil homme, son histoire terminée, tourna avec un sourire la tête vers sonpetit-fils. Ce dernier avait fermé les yeux en entendant la fin du récit, essayant de conserver quelques instants encore l'image du héros. (...)
- Tout de suite, grand-père ! » Le printemps est là. Alors que le vieil homme sirote un thé vert, lepetitgarçon joue avec des osselets près du brasero qui maintien une température agréable dans la petite boutique. (...)
Bonne journée, Chang Wei. A bientôt. - Merci, merci mille fois, maître Zhái ! », murmure en s'inclinant lepetitartisan avant de sortir de la boutique. Lí Wei le regarde partir puis il tourne vers son grand-père un regard interrogateur. (...)
Imitant son grand-père, le garçon ferme les yeux et inhale profondément, puis relâche doucement son souffle.Petitàpetit, il cesse de prêter attention au chant des oiseaux, puis au bruit de la petite brise sèche qui balaie la terrasse, se concentrant uniquement sur le bruit de son coeur et du sang qui court dans ses veines. Une petite heure se passe, puis une autre, sans que la silhouette du vieil homme ne bouge. (...)
D'un geste sec de la tête, ce dernier leur ordonne d'aller prendre un bain, et les deux garçons partent en courant et en riant vers lepetitétang à l'ouest de la ville. Quand il revient à la maison, Lí Wei retrouve son grand-père en train de boire un grand bol de bouillie chaude. Il se sert à son tour et savoure la sensation de remplir son estomac. Unpetitbruit sec, le bol en bois que vient de poser son grand-père, lui fait lever la tête. Voyant qu'il a son attention, le vieillard lui dit : « Tant que tu ne te connais pas ni ne te maîtrises, tu n'arriveras à rien, tu sais ? (...)
Mais cet hiver a été le dernier. Quand, alité et secoué de violentes quintes de toux, il a finalement autorisé sonpetit-fils à se rendre à Nao chez le médecin, il était trop tard. Celui-ci n'a pas hésité à venir quand il a su que le père du garçon était Zhái ? (...)
Les affaires de son père sont beaucoup plus florissantes que celles de son grand-père. Il possède même unpetitélevage de chevaux en dehors de la ville. Mais l'adolescent n'éprouve aucun goût pour le commerce ; en fait, les préceptes que lui a enseignés son grand-père ne semblent pas du tout être ceux qui régissent la vie de son père, ni celle des citadins aisés qui visitent chaque jour sa boutique. (...)
([Nom de famille] + gai/joyeux et 1. habile/fin 2. efficace) Une pente glissante... La place était comptée dans la pièce à l'arrière dupetitmagasin. Yú, assis en hauteur sur le lit qu'il partageait avec son cousin Kai (? victorieux/triomphant), contemplait avec plaisir l'agitation en contrebas. (...)
Yú a déjà bien bu, mais ce n'est rien à côté de ce qu'a ingurgité Tong, et il n'est pas question de perdre face à ce dernier. S'il n'avait pas triché plus tôt pour rafler ce jolipetitmagot que Yú pensait déjà tenir, peut-être ne aurait-il été autrement, mais plus maintenant. Les yeux brillants, Yú roulent les dés dans ses mains et, avec un geste théâtral, les envoie sur la table ; personne n'a remarqué quand il a échangé l'un d'entre eux pour un des dés pipés qu'il garde dans l'ourlet de sa manche. (...)
Certains de leurs compagnons commencent à rire, mais ils s'arrêtent très vite au regard que le perdant leur jette avant de tourner son visage empourpré par l'alcool et la colère vers Yú. En voyant cela, ce dernier perd son sourire. Tong fait un signe de tête et tout lepetitgroupe se retire à la table du fond ; tout lepetitgroupe... sauf Yú. En passant, certains lui jettent un regard en coin. Yú hausse les épaules, ramasse ses gains, va acheter une petite bouteille d'alcool de blé et sort nonchalamment de la taverne. (...)
Ne comprenez-vous donc pas ? » Tong toise Wei puis se détourne en crachant à ses pieds, puis il entraîne lepetitgroupe qui le fixe d'une remarque méprisante : « Partons d'ici, j'ai mal à la tête rien que de devoir entendra ça en dehors de l'école. (...)
([Nom de famille] + Espoir/Souhait) Un bon fils Féng An Yi (??? [Nom de famille] + anyì = confortable/aisé) attend anxieusement dans lepetitsalon de réception. Les cris qui montent des quartiers de son épouse ne sont pour le rassurer malgré les avertissements de la sage-femme. (...)
Maintenant, je dois aller féliciter mon épouse de m'avoir donné un fils. » Féng An Yi salue la femme d'unpetitgeste sec de la tête et se dirige vers l'appartement de son épouse... ********** Se tenant très droit, Qiwàng s'approche avec toute la dignité permise par ses cinq ans de l'entrée du palais du gouverneur. Lepetitgarçon porte une plateau couvert dans ses mains. Quand il arrive devant les gardes, il s'incline précautionneusement, veillant à ne pas renverser le plateau et de sa voix fluette : « Oncle, j'apporte le repas de mon père, maître Féng An Yi. (...)
Personne ne l'arrête : la plupart de ceux qui sont ici le connaissent et sa figure familière n'étonne personne. Un dernier escalier en colimaçon et unpetitcorridor l'amène enfin à sa destination : une grande pièce sobre, éclairée par le jour qui pénètre par deux grandes fenêtres, dans laquelle cinq hommes sont assis derrière des bureaux tandis qu'un autre est penché sur le travail d'un de ses subordonnés. (...)
Heureusement, son père n'a pas reparlé de cette affaire d'exercice physique, ce qui n'est pas plus mal, car la chaleur estivale est déjà difficile à supporter assis derrière son bureau à lire et à commenter ses lectures. Le soir qui tombe n'apporte pas vraiment de répit. Unpetitgong qui sonne lui rappelle l'heure du repas. Rinçant soigneusement son pinceau, Qiwàng se lève et va se laver les mains avant de rejoindre son père qui vient de revenir du palais. (...)Nouvelles décrivant les backgrounds de 4 personnages-joueurs en vue d'une campagne utilisant le scénario du LdB. Yuè Hua ?? (Fleur de Lune) Renaissance Flotter dans un lac noir... Le coeur qui cogne et, à chaque battement, une douleur sourde fait exploser les pensées... Une lueur s'approche, et la terreur qui enfle... Fuite éperdue, mais la lumière gagne du terrain... Elle est là, juste derrière, et il ne reste d'autres choix que de lui faire face ; alors, se retourner, et... La jeune fille se réveille ...