Steampunk, de la vapeur dans vos JdrA
sur Jeux d'Ombres
Un nouveau genre dans la littérature de SF, engendre invariablement la création de nouveaux jeux exploitant ses univers, ses codes et ses thématiques. Le Steampunk ne déroge pas à cette règle et, alors qu'il a fallu vingt ans pour qu'il s'affirme comme un genre littéraire à part entière, il commence à inspirer les auteurs de jeux et c'est pour notre plus grand bonheur qu'à l'aube de sa notoriété nous l'avons vu enrichir nos ludothèques. C'est dans le jeu de rôles amateur qu'on retrouve à mon avis ...Contient : europe (4)(...) Ce genre tire son nom des mots grecs utopie (le lieu qui n'existe pas) et chronos (le temps) et il s'agit en fait d'une utopie appliquée au cours du temps, de l'exploitation d'une hypothèse et de ses conséquences sur l'Histoire. L'auteur part d'un postulat : Napoléon n'avait pas été battu, le 3ème Reich a conquis toute l'Europe, l'Amérique n'a pas été découverte... et s'interroge sur les changements que cela va induire. (...)
Trois siècles plus tard l'humanité combat des créatures rendues démoniaques par une pierre aux sombres pouvoirs et les fantassins soutenus par des mécha combattent sous la bannière du Tsar Ivan le terrible. Ce jeu sera fortement imprégné par l'Histoire de l'Europede l'est et par les personnages historiques de la Russie du 16ème siècle. * République universelle : 1762, La France n'a pas perdu la guerre d'Amérique contre les Anglais ; Lafayette est un héros qui lors de la révolution française décrète la république, qui s'étend à une grande partie de l'Europepour devenir la république universelle. RU, nous entraîne dans un monde lancé à toute allure dans une course au progrès entre de gigantesques blocs de nations unifiées. (...)
Crimes : Gaslight Romance, pas de science-fiction, juste du fantastique planté dans un début de 20ème siècle historique. On y joue des enquêtes policières enEuropefaçon Brigade du Tigre ou Arsène Lupin, à ceci près que certains crimes n'ont pas d'explication logique et là on bascule derrière le miroir. (...)