Elos la Blanche
sur L' Oiseau Oracle au format (488 Ko)
Contient : bras (4)(...) Prestement il rattrapa la mulière, la jeta sur le pavement, et l'empiaffa incontinent. Hurlant sa joie, la jeune fille ne semblait point nécessiter l'aide d'unbrasvigoureux qui saurait sauver sa vertu. Je laissois faire.» En apparence, Elos est une cité des plus accueillantes, et des plus permissives. (...)
Puis il paraît et le silence se fait. Seul sur le balcon, il se tient droit face à la foule muette. Lentement il lève lesbras, comme crucifié, et d'un bond se jette dans lesbrasde ses enfants... Et c'est la curée, les poings et les pieds s'abattent sans relâche, chacun veut sa part du festin, et le corps bientôt est écartelé, dispersé aux quatre coins de la place. Lorsque le «père» a été tué, les lois et l'ordre sont abolis et les citoyens se dispersent, comme ivres, et s'en vont de par les rues. (...)
- Une nuit, les personnages sont abordés par une esclave en fuite, porteuse d'un enfant, le sien, qu'elle remet aux personnages, puis disparaît. Les voilà avec un enfant sur lesbras. Sauront-ils trouver des couches en pleine nuit et faire chauffer un biberon? Un scénario palpitant, plein de dangers et au lyrisme échevelé. (...)Elos la Blanche se tient en bordure de mer. A l'ombre de ses murailles antiques vivent cent mille âmes. Des ports aux larges jetées partent les vaisseaux à trois rangs de rameurs, aux voiles blanches frappées d'or. Au centre de la ville, les Palais de la Reine et de Sa Grande Préciosité et les tours des Précieux Astrologues, toujours plus près des étoiles, ponctuent l'horizon de la cité. Les fêtes, innombrables, rythment le temps qui passe. Et dans les rues, au Théâtre ou aux thermes ...