Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : fiacre (3)(...) J'allais la rejoindre à la gare et la prévins que j'allais la conduire à son mari...» Il continue son récit morbide en contant comment, après avoir pris unfiacrejusqu'en pleins champs, il invite la femme et les deux plus jeunes bambins à le suivre à pied, en laissant les trois autres enfants dans lefiacre. Elle ne se méfie pas, Jean-Baptiste est un ami... Le récit des meurtres est effrayant. IL MORD LE POUCE DU BOURREAU « J'ai tué Kinck pour m'emparer de l'argent qu'il m'avait dit avoir chez son banquier. (...)
Les bateaux suivent cet exemple (voir les steamers) comme les trolleybus mais au tournant du siècle, lefiacreet le bus à traction animale flanchent mais ne meurent pas. L'avion est considéré comme hors de portée du public avant cette Première Guerre Mondiale, seul le zeppelin peut apparaître à la rigueur. (...)