Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : justice (9)(...) Puis c'est celui d'une femme d'une quarantaine d'années qui apparaît, enceinte de 6 mois, un gamin de 8 ans et un autre de 13 ans. Tous frappés à coups de couteau ou de pioche, voire étranglés. EN ALSACE POUR AFFAIRES Lajusticedécouvre rapidement, grâce à divers recoupements, l'identité des cadavres. Il s'agit d'Alfred, Henri, Marie, Achille et Émile Kinck ainsi que leur mère, Hortense Kinck née Rouselle. (...)
Il déclare avoir enterré dans les environs de Steinbach un mystérieux portefeuille contenant toutes les preuves contre ses complices. On ne retrouvera jamais l'étui et lajusticene retiendront pas ces derniers aveux, sans doute inventés de toutes pièces... Le 9 décembre, Troppmann est transféré à la prison de la Conciergerie à Paris. (...)
La réaction enflammée de Zola relance l'affaire (qui devient l'Affaire) qui divise la France en deux camps : Dreyfusards et Antidreyfusards. Les premiers proclament l'importance de lajusticeet de la vérité. Les seconds leur préfèrent l'honneur de la patrie et de l'armée. Le débat est si houleux qu'il faut attendre 1906 pour reconnaître son innocence devant les tribunaux. (...)
En 1871, après la défaite contre la Prusse et la Commune , près de 238 édifices publics sont en ruines dont le Palais deJusticeet l'Hôtel de Ville. lieux de la capitale L'architecture est un hybride entre les styles gothiques et modernes, qui donne à la ville une allure sombre et majestueuse. (...)
Nous ferons plus simple : nous définissons le Mal comme une PERVERSITE, un acte gratuit de destruction qui ne défend aucune cause supérieure. Une cause supérieure : sauver des vies humaines sans en sacrifier, désir de rendre lajustice(et non SAjustice)... Un acte de perversion : torturer quelqu'un, le dévaloriser sciemment, tuer gratuitement... Tout PJ ou PNJ se voit donc attribuer un score de corruption qui forme une balance entre la « pureté morale » et l'avilissement du personnage. Cette balance a un score médian. (...)