Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : malades (6)(...) Cette galerie sert également d'institut médico-légal, lieu familier pour les futurs enquêteurs. Notons dans le même registre la reconstruction d'hôtel-Dieu où l'on soigne lesmalades, dont l'un se situe au centre de l'Ile de la Cité en y offrant 600 lits gratuits aux nécessiteux. (...)
Certains décès dans cet hôpital auraient «pu avoir été provoqués notamment par une administration incontrôlée de médicaments utilisés dans l'anesthésie», affirme le journal citant des témoignages anonymes d'anciens employés de l'hôpital. Le personnel médical «retarderait parfois volontairement» le transport de certainsmalades, «pour diminuer leurs chances de survie» et convaincre ensuite les familles des décédés de s'adresser à certaines sociétés de pompes funèbres. (...)
Brinvilliers (Marie Marguerite de) Femme jeune et jolie qui, de 1666 à 1672, empoisonneuse sans motifs de haine, quelquefois même sans intérêt, parents, amis, domestiques ; elle allait jusque dans les hôpitaux donna du poison auxmalades. Il faut attribuer tous ces crimes à une horrible démence ou à la plus atroce dépravation ; mais non au diable, comme on l'a fait dans le temps. (...)