Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : sociétés (5), micro(...) Ainsi, le puritanisme en vigueur sous le règne de Victoria ou sous la bannière américaine ne saurait cacher la profonde corruption morale qui mine lessociétés, et qui forme le terreau de l'univers de Crimes. Dans le caractère des personnages, cela se traduit par la perte du flegme (légendaire chez les Britanniques) au profit des passions les plus primaires, les plus destructrices. (...)
Un juste retour des choses veut que ces peuples opprimés fournissent un lot considérable de rebelles prêts à opérer en Europe, protégé par le cosmopolitisme grandissant de sessociétésurbaines. le reste du monde Passons rapidement sur les régions du monde qui peuvent achever la galerie des PNJs exotiques et d'enjeux pour le contexte de Crimes. (...)
Le personnel médical «retarderait parfois volontairement» le transport de certains malades, «pour diminuer leurs chances de survie» et convaincre ensuite les familles des décédés de s'adresser à certainessociétésde pompes funèbres. Les «tarifs» pour une dépouille, appelée dans le jargon de l'hôpital «la peau», vont de 1200 à 1800 zlotys (de 326 à 490 euros), dans un domaine où la concurrence est rude puisque très lucrative pour lessociétésspécialisées dans les services funèbres. «Si ces informations sont vraies, elles sont choquantes», a déclaré le premier ministre Leszek Miller, déjà échaudé par un récent rapport très critique sur le fonctionnement des hôpitaux en Pologne. (...)
On ne peut comprendre le crime sans la relier au système pénal et judiciaire ; à la mise en scène médiatique des faits divers, à l'exploitation politique de la délinquance, à la formation dessociétésdisciplinaires, à toute une série de phénomènes d'actualité. Le XIXème siècle n'échappait pas à ces règles. (...)