Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : mortis (3)(...) On peut ainsi : Etablir l'heure de la mort : Selon le refroidissement du corps (de 0.8 à 1.1 °c par heure les 11 premières heures puis deux fois moins vite). La rigormortisest installée après 12 heures puis se relâche progressivement du visage aux jambes. Des spasmes cadavériques peuvent aussi être interprétés. La livormortisdonne un aspect de contusion, à cause de la descente des globules vers le sol, sous effet de la pesanteur quand la circulation sanguine est suspendue. (...)
Ces indices sont absents dans le cas d'une mort par choc thermique qui aurait empêché la respiration. Dans l'eau, la rigormortisest plus lente, et le refroidissement du corps deux fois plus rapide. Après une semaine, l'abdomen se remplit de gaz et augmente la flottabilité. (...)