Hommes de Scène
sur Qin - la légende au format
«Hommes de scène» a été adapté à partir du scénario de L5A « Le dragon de l'Air, p. 2 : Le général d'Obsidienne», présent sur le site : SDEN (http://www.sden.org/-Livre-des-5anneaux-. html) et dont l'auteur original est Goethe. Il sera joué dans ma campagne Qin entre la deuxième et la troisième partie du scénario « Le Piège » du supplément Tian Xia Xianyang. Le document se décompose en trois parties : le scénario, les annexes et enfin une aide de jeu sur le théâtre en chine. Le scénario«Hommes> ...Contient : opération (3)(...) L'échec (et le refus) n'est donc pas une possibilité. Maintenant mon vieil ami, le vénérable Général Tchen Qi, va vous informer des détails de l'opération. » Tchen Qi, silencieux jusque là, vient se poster devant les joueurs et leur annonce, avec une droiture toute militaire et sans tergiverser, les détails de leur mission : « Honorables bouchers de Quzhi, vous allez devoir enlever et remplacer par un sosie une cible déterminante dans le déroulement de la guerre d'usure que le royaume du Qin a engagé contre le Chu. (...)
Quelques joueurs avec de bonnes compétences de combat pourront aisément se faire passer pour des nouvelles recrues... -Pour les joueurs qui n'auraient pas pu de faire passer pour des mercenaires, Ge Yong les informe que le chariot des costumes est équipé d'un double fond et que les PJ grimés en serviteurs pourront donc y dissimuler leurs armes. Lifeng accompagne les PJ depuis le début et a reçu l'ordre de les laisser organiser toute l'opérationet de se concentrer uniquement sur son rôle : prendre la place du général du Chu. Il n'émettra donc aucune remarque ou protestation et se contentera de suivre les instructions des joueurs, à moins bien sur que leur plan ne soit suicidaire ou complètement idiot, auquel cas il ne manquera pas de le leur faire remarquer. (...)
Un dernier point,... les personnes pour qui vous travaillez en ce moment ne doivent rien connaître de cetteopération. Alors maintenant si vous avez des questions c'est le moment car après ce soir nous ne nous reverrons plus. (...)