Magos (Extrait d'Ascension)
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Contient : humanité (4)(...) De tels cas ne se présentent que fort rarement au sein de la confrérie des magi, car ces individus sont maintenant trop étrangers à leurhumanitéoriginelle et trop phénoménalement monomaniaques : des notions telles que l'hérésie et le savoir interdit ne peuvent plus s'appliquer à des êtres de leur stature. (...)
Au fur et à mesure qu'ils se déparent de leur faiblesse biologique innée et fusionnent avec la Machine, les magi intègrent peu à peu la conscience collective formée par ce savoir total. Parvenu au terme de sa quête du Savoir, le magos se débarrasse de ses derniers vestiges d'humanité. Il se rend alors une dernière fois à l'autel du Dieu-Machine et implante le contenu de son cortex cérébral (et peut-être même son âme) dans le gigantesque réseau, parachevant sa fusion avec l'Omnimessie. (...)
Vous devez ensuite sélectionner un trait de Magos supplémentaire parmi ceux qui suivent. Ame de fer : Les authentiques serviteurs de l'Omnimessie abandonnent inévitablement leurhumanitépour s'ouvrir à la gloire du Dieu-Machine. Ceci est particulièrement vrai des magi, qui se souviennent à peine du temps où ils étaient encore soumis aux turpitudes des simples mortels. (...)
Maître des armures : Les meilleures armures et les plus formidables boucliers sont tous produits par les adeptes du Dieu-Machine suivant des méthodes de construction remontant à la glorieuse antiquité de l'humanité. Grâce à vos années de pratique, vous pouvez renforcer encore plus ces protections ou en maximiser l'efficacité. (...)« Je suis las de la carcasse dans laquelle je suis né. Sa nature me cause un étrange dégoût. Je ne désire que la froide et nette certitude de l'acier et du silicium, je ne rêve que du jour où je ne ferai qu'un avec la sainte Machine. Je ne m'attends pas à ce que vous me compreniez, vous qui vous cramponnez à votre chair comme si c'était quelque chose d'immortel, vous qui ne souhaitez que la préserver et la protéger. Un jour, la folie de votre existence vous apparaîtra et vous viendrez sans ...