Sur le pont, nous règlerons nos comptes...
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Contient : novembre (3)(...) Petit à petit, le plan se met en oeuvre : l'orgeuil de Jonsoy est brossé dans le sens du poil. Mercenier lui permettra d'entrevoir un statut de vrai prêtre, artisan de la paix. 1ernovembre761 : Jonsoy demande à voir le général. Ce dernier ne renouvelle pas son erreur et reçoit le prêtre. (...)
Jonsoy refuse de dire d'où provient cette main d'oeuvre (et pour cause, il ne le sait pas encore) et avoue clairement au général que le père Avord est une gêne. Le général promet de le garder à distance. 3novembre761 : Mercenier traverse discrètement le fleuve et va trouver Cardenaux. Il comprend très vite que le prêtre est à la hauteur de sa (mauvaise) réputation. (...)
Jonsoy propose à son acolyte les oeuvres d'art du temple et les deux hommes s'entendent sur la procédure : le passage des hommes par des barques discrètes, la nuit. Lorsque les réfugiés arrivent, ils sont conduits dans une cave, où ils sont enfermés. 17novembre761 : Des hommes du général viennent chercher les « réfugiés ». Ils sont entraînés au fortin et mis au travail, à l'écart des autres travailleurs. (...)La guerre civile a coupé Balague en deux. De part et d'autre de la rivière, les armées ont tenu bon. La paix les a prises par surprise. Mais avant qu'un nouveau pont ne puisse sceller la réunification des deux quartiers, il reste des comptes à régler. Ce scénario s'adresse à des joueurs plutôt diplomates. Il fait suite à « La cathédrale des cimes », paru dans Eastenwest n°16 et continue à explorer les aléas d'une société déchirée par la guerre. Il se déroule dans un cadre fourni, mais peut aisément ...