La Bretonnie
Contient : bretonnie (35)LaBretonnieLaBretonnieest un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. (...)
Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire, qui la conclut. A cette époque, laBretonnieétait insignifiante comparée à l'Empire. Cependant, les Rois bretonniens devinrent rapidement d'une puissance comparable à l'Empereur et ses cités devinrent un modèle de modernité et d'élégance. Depuis lors, laBretonniea été dirigée par une monarchie absolue et n'a connu que quelques crises de dynastie occasionnelles. L'absence de menace extérieure évidente a permis aux Rois deBretonniede conserver leur emprise sur le pays mais une certaine complaisance alliée à une certaine décadence leur interdisent tout espoir sérieux d'expansion. (...)
Au fil des années, ils ont porté assistance aux Bourgmestres de Marienburg lors de leurs tentatives graduelles de prise d'indépendance par rapport à l'Empire. En effet, les rois deBretonnievoient les Wastelands comme une éventuelle zone tampon entre eux et les visées expansionnistes de l'est. (...)
Les aristocrates et le roi semblent aveugles à l'état de leur royaume, alors que les quelques nobles qui s'en préoccupent ne s'occupent que de la défense de leur propre territoire, fuyant la folie qui s'est emparée de la cour. GEOGRAPHIE : LaBretonnies'étend des côtes de la Mer Médiane au nord jusqu'aux montagnes Irranas au sud; et des côtes du Grand Océan Occidental à l'ouest jusqu'aux Montagnes Grises à l'est. Les collines douces et les vallées tranquilles de laBretonnieproduisent des récoltes abondantes et des vins excellents pendant que ses forêts l'approvisionnent en bois de construction et lui fournissent de bons terrains de chasse. (...)
On peut traverser le fleuve par bac à Moussillon mais le seul point de tout son cours est à Parravon, à l'est de la cité. Le Fleuve Morceaux : Il prend sa source dans les hauts plateaux de laBretonniecentrale et suit un tracé méandreux entre les collines calcaires pour se jeter, finalement, dans l'Océan Occidental. Le vin de la vallée de Morceaux est considéré comme le meilleur deBretonnie(sinon du monde entier). En été, les collines de la région se couvrent de vignes dont le produit, après traitement par les vignerons locaux, est transporté en aval, à destination des marchands. (...)
Les Pâles Soeurs : Elles forment une extension septentrionale des Montagnes Grises dont elles sont séparées par la brèche de Guisoreux, le confluent de toutes les voies commerciales entre l'Empire à l'est et laBretonnieet les Royaumes Estaliens à l'ouest et au sud. Les Montagnes sont principalement dénudées, habitées seulement par des brigands et quelques gobelins. (...)
Certains pics rappellent, dit-on, la silhouette de vieilles femmes courbées que les neiges éternelles semblent couvrir d'un châle blanc; de là leur nom. POLITIQUE : Les officiels élus des Cités deBretonniesont, théoriquement responsables de leurs actes devant un gouverneur royal, choisi par le Roi, au sein de l'Aristocratie. (...)
Il vit dans un grand palais, à Oisillon, à 150 km au nord ouest de Guisoreux, entouré de ses favorites, de flagorneurs et d'une cohorte de serviteurs. On ne s'étonnera pas que les peuples pauvres et maltraités des villes deBretonnieaient une réputation de fauteurs de trouble, d'ambitieux agitateurs politiques et de filous. (...)
Pendant ce temps, les dames, comme des poupées précieuses, s'installent dans des carrosses rutilants, croulant sous les rangées de perles et les bijoux et cachant leurs atroces traces de maladies et autres hideuses défigurations, sous les fards et les poudres. Les stigmates du Chaos sont moins apparents enBretonniesurtout parce que les habitants ne veulent pas les voir, refusant d'en accepter les horribles implications et cachant leur terreur derrière l'extravagance et le mauvais goût ostensiblement arborés. (...)
Le ' h ' initial est invariablement muet alors que le ' r ' est toujours roulé au fond de la gorge. LES CITES : LaBretonnieaccueille un certain nombre de cités importantes. Ce sont : l'Anguille, avec son célèbre phare; le centre vinicole de Bordeleaux; Brionne, la cité des voleurs; Couronne, la cité d'eaux; le ' melting pot ' bouillonnant de Guisoreux; Moussillon, la cité des Damnés; Parravon,la mystérieuse, où l'oppression des pauvres, par l'aristocratie, est infâme, même selon les critères bretonniens. (...)
En vertu de la présence de ces 'saunas naturels', la cité intramuros est remarquablement propre, pour une agglomération deBretonnie. La plupart des grandes maisons ont leur propre source d'eau chaude, dans les fondations, ainsi que l'alimentation en eau. (...)
C'est de là que Gilles le Breton entama sa campagne de conquête des régions avoisinantes; celle qui devait mener à la formation de laBretonnie. Une gigantesque statue de ce puissant guerrier domine la place centrale du marché. Désormais, en dépit de son histoire illustre et de la place toute spéciale qu'elle s'est attribuée dans les annales de laBretonnie, la cité de Guisoreux est entachée d'une misère et d'une décadence plus manifeste ici que dans toutes les autres cités deBretonniequi n'en sont pourtant pas exemptes. Les agitateurs et les voleurs sont les moins dangereuses des créatures qui hantent les centaines de kilomètres de tunnels désaffectés et d'égouts des souterrains de la cité. Là ce sont les ténèbres de passages effondrés et oubliés qui cachent les agissement des adeptes du Chaos. (...)
De la nature ou de ces puissances hors-nature qui se manifestent par la pourriture et la pestilence. A l'origine, Moussillon n'était pas différentes des autres cités deBretonnie. Mais, il y a une cinquantaine d'années, une série de tremblements de terre réduisit même les plus riches maisons en un amas de ruines effondrées. (...)
L'aristocratie de Quenelles vit dans de grands manoirs dont les hautes tours, parfois brisées, surplombent la cité depuis les collines au nord. Ils sont aussi complaisants et décadents que n'importe quel aristocrate deBretonniemais leur réputation de cruauté est très bien établie, même dans des régions où ce comportement est courant. (...)
Ce sadisme inhérent des habitants de la cité dénonce une corruption interne des plus hideuses, qui, elle-même, constitue une preuve de la présence dévorante du Chaos dont le mal est en train d'imprégner toute la société bretonnienne. Le sourcebookBretonnie. On a quasiment trois versions sur laBretonnie: - celle qui est décrite plus haut, tirée de WFRP1, soit une description assez négative. Tout est corrompu et pourri meme si on y dit en introduction qu'enBretonnie, 'la marque du Chaos est moins apparente' que dans l'Empire. - laBretonniegentiment arthurienne décrite depuis WFB5. - laBretonniedes fans (le sourcebook) : mélange de l'Histoire de France entre la Guerre de cent ans, la Renaissance et même quelques éléments pré-révolutionnaires. Le sourcebook essaie de faire la synthèse des deux extrèmes précédents : la Dame du Lac est un culte historique sur le déclin, la noblesse reste corrompue mais laBretonniedevient un pays viable. Enfin, une couche 'de cape et d'épée' s'ajoute à celà. C'est une bonne lecture. (...)
Voyez aussi la page sur Jeanne du Lac tirée de Realm of Divine Magic. 'Je trouve que les descriptions des cites deBretonniefaites dans votre manuel reviennent toutes à la même chose. La noblesse bretonnienne y est décrite comme décadente et corrompue, les pauvres y meurent de faim, de maladies et souffrent de toutes les calamités possibles sans qu'aucun noble ne s'en soucie, sans oublier le crime qui y parait bien plus répandu que partout ailleurs dans le Vieux Monde. (...)
LES ARMEES BRETONNIENNES [Warhammer Armies et WD 137] : Dans tout le Vieux Monde, les chevaliers considèrent labretonniecomme un modèle de chevalerie et de vertus chevalières. Il est universellement accepté que les chevaliers deBretonniereprésentent le pinacle des idéaux guerriers. A la guerre contre d'autres occidentaux, le chevalier bretonnien est magnanime aux prisonniers nobles, courtois envers les vaincus et généreux dans sa victoire. (...)
Chevaliers : L'armement normal du chevalier est le destrier, l'armure lourde, la lance de cavalerie, le bouclier et le caparaçon. Les moins fortunés se prive des deux derniers. La noblesse deBretonnieest notoirement inflexible dans son attitude envers la guerre - elle préfère combattre à cheval quand la chose est possible. (...)
- Chevaliers errants : Ce sont soit des chevaliers bretonniens envoyés par le roi pour aider les alliés de laBretonnieou des bandes de chevaliers dans une quête cherchant l'honneur, la gloire et une réputation en combattant pour de nobles causes dans des contrées étrangères. (...)
Les suivants des chevaliers sont les troupes personnelles amenées à la bataille par les chevaliers et autres nobles deBretonnie. Ils portent la livrée de leur seigneur féodal qui peut être un des chevaliers combattant avec ses confrères ailleurs dans l'armée. (...)
Brigands : Les brigands sont d'anciens soldats dispersés après la mort de leur seigneur ou la perte de ses domaines féodaux. Sans maîtres et sans foyer, ils ne peuvent rien faire d'autre qu'errer enBretonnievoire à l'étranger , louant leurs services. De cette manière, ils participent à d'innombrables petites guerres entre seigneurs rivaux, recevant parfois la gloire, la fortune ou une terrible réputation. (...)
Ils peuvent engager des nains, des ogres, des demi-orques, des norses ou d'autres occidentaux. Alliés : La Grande Armée deBretonniepeut aussi inviter des forces alliées à venir au Tournoi (comme le Roi aime appeler les batailles). (...)La Bretonnie est un vaste pays sur lequel la marque du Chaos est moins apparente que (par exemple) dans les forêts de l'Empire. La fondation du pays remonte à 1500 ans, lorsque Gilles le Breton, à la tête d'une armée recrutée dans la ville bouillonnante de Guisoreux, entreprit une campagne de conquête qui conduisirent à l'unification des nombreux petits états féodaux de l'ouest des Montagnes Grises et nord de la rivière Brienne. Elle devait durer 70 ans et c'est son petit fils, Guillaume Barbenoire ...