La Religion dans l'Empire
LE CULTE DE SIGMAR : Comme on peut s'en douter compte tenu de la taille de l'Empire, les pratiques religieuses varient énormément d'un endroit à l'autre. Cette règle comporte toutefois une exception notable, il s'agit du culte de Sigmar; il est extrêmement répandu et surpasse tous les autres. Le culte est organisé selon une ligne hiérarchique très stricte dont le Grand Théogone, basé à Altdorf, est le chef. En descendant l'échelle hiérarchique des pouvoirs, on trouve immédiatement deux Archi-Lectors ...Contient : skavens (5)(...) Comme on peut s'y attendre, l'adoration des Dieux du Chaos peut prendre de très nombreuses formes et les groupes de cultistes peuvent se montrer hostiles les uns envers les autres même s'ils sont voués à la même divinité. Le Rat Cornu : Symbole : Le Rat Cornu est la terrifiante divinité desSkavens. Ce puissant Dieu du Chaos ronge l'édifice de l'univers et il est adoré par lesSkavens. Mais ce ne sont pas les seules créatures à lui rendre hommage, des humains lui offrent aussi leurs prières et des sacrifices. Ceux-là sont persuadés qu'ils achètent ainsi la chance d'être épargné par la malédiction qui attend leurs congénères. (...)
Mais ils ne réalisent pas que tous les humains ne font qu'un aux yeux du Semeur de Corruption et qu'aucun ne sera épargné lorsque les villes et les cités s'effondreront sous l'influence desSkavens. L'organisation de ces cultes varie grandement. Certains sont dirigés par un Skaven qui mène d'étranges rituels dans des catacombes profondément enfouies sous les villes et les cités. D'autres sont régis par des humains qui rencontrent desSkavensen certaines occasions et reçoivent d'eux des instructions sur la meilleure manière de servir le Rat Cornu. (...)
Jusqu'à présent, le Rat Cornu n'a pas beaucoup manifesté sa présente au sein de L'Empire. Rare sont ceux, en dehors des cultistes, qui croient en l'existence desSkavens. Et ceux qui le croient tentent d'oublier. Khorne : Symbole : La subtilité n'a jamais été le point fort des adeptes de Khorne. (...)