Oni soit qui mal y pense…
sur Asmodée au format (271 Ko)
Contient : secteur (4)(...) Sa forteresse se situe à l'extrémité nord de la Grande Muraille de Kaiu. Il a toujours craint une attaque des forces de Fu-Leng dans sonsecteuret se méfie donc des moindres faits et gestes des créatures du Dieu Sombre. Toutefois, il ne s'attendait pas à une traîtrise et lorsqu'il envoie les personnages en avant de la petite troupe, il reste persuadé que la forteresse n'est pas tombée. (...)
Il est à l'origine d'un ambitieux plan de renforcement de la zone : il a fait bâtir des forteresses à intervalles réguliers (une journée de marche environ entre chacune), des postes de garde et un système complexe de feux d'alarme. Même si l'activité du Dieu Sombre n'avait jamais été aussi basse dans cesecteur, Teruko a toujours craint une nouvelle attaque. La forteresse des collines acérées : Description : Située à quatre jours de marche de la forteresse de Hida Teruko, c'est la première forteresse située dans les Plaines proprement dites. (...)
C'est l'occasion de prendre des nouvelles : - Ils ont bien vu passer les deux messagers (un dans chaque sens) ; - Depuis la nouvelle de l'attaque, les patrouilles ont été doublées ; - L'activité des créatures de Fu-Leng est très réduite dans leursecteur, et même plus calme que d'habitude... Ils demanderont eux aussi des nouvelles, notamment à propos des renforts envoyés par Hida Teruko. (...)
Il les accueillera de son mieux et leur indiquera que les activités gobelines se sont multipliées dans sonsecteurlors des derniers jours. Enfin, il leur annoncera que depuis plusieurs jours, on peut apercevoir une colonne de fumée provenant de l'ouest. (...)Une histoire de famille : Le samouraï se tenait droit, presque rigide, face au vent ; face à lui, l'esprit pervers de celui qui fut autrefois l'honorable Jiuketsu s'agitait en tous sens, avec sur le visage un air tantôt narquois tantôt pervers : « - Tu ne peux me résister, petit Hojitsu, je le sais. Cesse de te faire passer pour celui que tu n'es pas ! » Un tressaillement quasiment imperceptible du samouraï fit sourire l'esprit : « - Ah ! Je te reconnais mieux maintenant. Alors, as-tu bien ...