Ca pourrait être pire, il pourrait pleuvoir
sur Tartofrez au format (135 Ko)
Une nuit en enfer : Ce scénario est initialement prévu pour le TIL 2006 et est inspiré d' « Une nuit agitée aux Trois Plumes », écrit il y a une vingtaine d'année par Graeme Davis pour Warhammer. Il consiste essentiellement en un huis clos où se mélangent de nombreuses intrigues au milieu desquelles les personnages devraient se retrouver rapidement empêtrés. Mais sa principale singularité est de se passer dix ans avant le début du jeu et de la campagne Tiàn Xia (soit en - 250), et de ...Contient : assaillants (4)(...) Le temps que les premiers secours arrivent, cinq hommes de Lin Baihu grimpent sur le chemin de ronde à l'aide d'un grappin (et d'autres continuent à monter). Malheureusement pour lesassaillants, leurs sympathisants infiltrés ne sont pas assez proches pour les aider et préfèrent donc rester dissimulés. (...)
00h40 : Fen Lu, fou furieux après l'attaque des hommes de Baihu, décide de l'exécuter pour les punir et les dissuader de s'en prendre encore aux occupants du fort. Mais alors qu'il proclame l'écartèlement suffisamment fort pour que même lesassaillantsvenant d'être repoussés l'entendent, et qu'il demande des volontaires, ITsing, Jian, Kaong et Lili font tomber le masque et tentent de libérer à la fois leurs camarades nouvellement prisonniers et leur chef, n'hésitant pas à prendre Fen Lu en otage. (...)
Une solution classique pourrait être alors de faire jouer la bataille sur les remparts pour empêcher lesassaillantsd'entrer, avec peut-être une incursion à un autre endroit du fort, puis le fait d'être submergés et de devoir se replier, impliquant des combats au milieu les tentes ou par-dessus le puit, peut-être une opportunité de se battre en duel informel avec des officiers ennemis ou la trahison d'une faction puis, enfin, un retranchement sur les bâtiments en dur du fort et une lutte acharnée pour ce dernier bout de terrain. Lesassaillantsne devraient se replier a priori qu'en subissant des pertes beaucoup trop importantes ou à la mort de leur chef. (...)