Le Centre de la Folie
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Synopsis : Dieter Brinks, licteur de l'archonte disparu Chesed, a changé. Depuis sa descente en Enfer et son retour à Métropolis, il y a de cela quelques jours, le licteur a changé. Il sent une présence se réveiller en lui... 7 Juillet 1943: Après vingt ans de lutte contre ses semblables, Chesed, à bout de force, crée 6 êtres à partir des chairs de ses Incarnations (Calvin Bradley, Henri Deville, Eric Callder, Sade Kingston, Edward Klimb et Dieter Brinks), et se réfugie dans chacun ...Contient : récit (5)(...) Siphr ajoutera qu'il aimerait bien récupérer son ouvrage de rituels, afin de le remettre en lieu sûr, et qu'en contrepartie d'un tel service, il serait tout à fait disposé à leur fournir quelque chose susceptible de les aider dans leur ' autre enquête '... Sade Kingston et lerécitde l'avenir : Voici les quelques renseignements que les personnages peuvent obtenir, via le service informatique du FBI, concernant Sade Kingston. (...)
Brinks s'assit derrière la petite table et lut ces quelques pages que j'avais manuscrites. Le cadavre près de lui fumait encore de sa mort brutale, et Brinks le lut afin de reprendre lerécitoù il avait été laissé. ' Enfin, le chapitre s'achèvent sur ces mots: ' Il revenait maintenant à Brinks d'achever lerécit. ' Les personnages peuvent passer au siège du ' Phenomena ', où on leur répondra que Edward Klimb n'est pas venu au journal de la journée. (...)
En voici le contenu, chapitre par chapitre. Le Chapitre I narre la descente aux Enfers de Dieter Brinks. l'endroit décrit est effroyable. Lerécits'achève sur la rencontre avec Walter H. Johnson, le général de l'Armée des Cent Népharites, Le Chapitre II décrit quant à lui une terrible bataille contre l'Armée des Cent Népharites dans laquelle fut engagée Brinks, et se poursuit sur la fuite vers Achlys, le Néant. (...)
Il y est dit que cette lutter causa la perte de Brinks... N'oubliez jamais que ces récits ont été écrits par des Licteurs amnésiques, et donc que leurrécit, reflet de leur schémas de pensées si différents des notres, sont déroutants et pour le moins obscurs. (...)